Me voilà peu inspirée en ce jour de quinzième anniversaire du blog.
J'ai déjà dit beaucoup de mes motivations, de mes freins aussi à écrire, quasi sans relâche puisque le nombre de 4000 publications est largement dépassé.
Les curieux pourront lire les billets que j'ai écrits les années précédentes. Chacun reflète mon humeur du moment et a valeur de bilan.
Je constate, en comparant les statistiques, que je n'ai attribué que 16 coups de coeur en un an. Je n’abuse pas du label même si je reste prompte à m'enthousiasmer et que le rythme des chroniques de spectacle a repris après l'isolement imposé par la crise sanitaire du Covid avec environ une centaine de plus.
J'ai lu un nombre quasiment équivalent de livres, une autre centaine, dont un tiers de premiers romans, ce qui est un sujet de fierté car si l'on attend qu'ils soient célèbres pour en parler peu de jeunes auteurs auront la chance d'être repérés.
La permanence des articles (j'en ai souvent la preuve en voyant resurgir, parmi les dix articles les plus lus au cours des 7 derniers jours, des publications très anciennes et qu'on pourrait croire -à tort donc- disparues) est un énorme encouragement à poursuivre même si la morosité ambiante inciterait au découragement.
Le virtuel est le reflet fidèle d'une réalité bien certaine, comme l'est ce fauteuil d'artiste imaginé par le peintre, sculpteur et plasticien Daniel Buren pour la Scala où il est le dixième à être présent dans le hall. Ce dispositif spectaculaire et inédit est à découvrir jusqu’en mai dans ce théâtre, au 13 boulevard de Strasbourg.
Alors asseyez-vous confortablement devant votre écran et … prenez connaissance !