"La dernière samouraï" dit le gros titre
reprenant une légende répandue par la disparue elle-même
Elle aurait été issue d'une très ancienne lignée aristocratique nippone
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Même la presse ne parvient pas à taire ses critiques contre María Kodama, alors qu’elle vient de disparaître à l’âge vénérable de 86 ans. Des nécrologies au ton très inhabituel…
Ce qu’on ignore encore et qui inquiète, c’est la décision qu’elle a prise pour son héritage. Qui avait-elle désigné pour récupérer et administrer l’œuvre littéraire d’un des plus grands écrivains argentins qui ne soit pas tombé dans le domaine public. On ne sait même pas si elle a rédigé un testament.
Dans son édition papier, ce matin,
Clarín consacre trois pages à la disparition de la veuve
et à l'œuvre du défunt époux
"La gardienne de fer choisie par Jorge Luis Borges"
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Ce dont on se souviendra la concernant est sans doute la vie impossible qu’elle a menée à de nombreux éditeurs de son feu mari et à ses traducteurs ! Elle leur a fait souvent fait vivre l’enfer.
© Denise Anne Clavilier www.barrio-de-tango.blogspot.com
Pour aller plus loin :
lire l’article de La Nación