Dans la série Last of Us, que notre fils nous force un peu par la gorge, il y a, au 5ème épisode, un moment aussi jouissif qu'inattendu (divulgâchis arrêtez ici) où un groupe qu'on arrive pas à aimer d'aucune manière, voit un de ses camions se faire avaler par le sol et en sortent des dizaines et des dizaines d'anciens humains devenus monstres qui les surpassent en nombre, en force, et la suite est tout à fait brutale.
C'est formidable et tout simplement heureux que le citoyen Donald Trump doivent faire face aux crimes qu'il aurait peut-être commis (ça reste toujours à prouver, on est pas en Chine). C'est d'emblée grotesque de toute manière que la simple fonction de président vous garde à l'abri de la justice. Si vous avec tous les pouvoirs au pays, il serait encore plus important d'être sain et honnête dans le cadre de ses fonctions.
Mais il y a longtemps que l'honnêteté à été remisée au vestiaire en ce qui concerne l'univers politique. Peu importe le niveau, scolaire, municipal, provincial, fédéral, international, la malhonnêteté domine au pouvoir. Et jamais elle n'a dominé davantage en Amérique du Nord que depuis l'arrivée du cirque Trump, en 2018. Donald, en bon dictateur fantasmé, veut abolir (EN 41 MOTS EN MAJUSCULES) le système de justice. Toujours la première chose à faire tomber, la justice, si on veut dominer son pays à sa guise. En toute criminalité assumée. 
C'est celle-ci qui sera étudiée en ce qui le concerne, criminalité qui se détaillait cette semaine en 34 chefs d'accusations pour falsifications de documents et fraude dans le dossier Stormy Daniels. D.J.T. a 4 autres procès qui l'attendent. Pour avoir incité au coup d'État le 6 janvier 2021, pour avoir financé illégalement, pour avoir tenté de tricher le résultats des élections en Georgie et finalement pour harcèlements/agressions sexuel(le)s. 
C'est assez agréable tout le mouvement de ressac qui avale les imbéciles qui ont pris le plancher pendant le pire de la pandémie, de les voir parader devant les juges, Cons parfaitement vaincus, convaincus qu'ils ont encore raison, malgré les milliers de dollars de contravention, les séjours en prison qu'ils ont fait ou qui leur pendent au bout du nez et la très très grande majorité qui se sont tiré d'affaires pendant le pire du virus. Ils s'adressent aux caméras à leur sortie de cour, ces mêmes caméras qu'ils disaient mépriser mais dont ils ont tant besoin afin d'exister. Si j'étais un de ces journalistes, même si ce n'était pas vrai, je me prétendrais de TVA juste pour les faire réagir. 
Tout ceux et celles, (dont mon boss fier de sa collection d'amendes pour avoir défoncé le couvre-feu) qui se sont cru "héros" de ne pas respecter les mesures sanitaires, gardant bien souvent ce sale virus très actif, déchantent d'apprendre qu'ils devront maintenant payer toutes les factures, ne retrouvent plus leurs ami(e)s leurs travails, quêtent assez publiquement pour avoir quelques moyens de subsistances, pour se rendre chez le dentiste, pour payer le loyer, manger à sa faim.
Je suis particulièrement content de voir que l'animateur télé déchu Tristan Bavaria, terré dans l'État le plus idiot des États-Unis, la Floride, est désormais poursuivi par le journaliste de La Presse Patrick Lagacé pour menaces de mort. Bavaria a depuis fermé sa page Facebook. Mais le mal est fait. C'est un parfait désaxé qui n'a jamais cessé de désinformer en tentant de faire de l'ironie, ce qu'il ne maitrise pas du tout. Mais alors pas du tout.
On pouvait sentir dans son tempérament qu'il avait le potentiel d'être excessivement dangereux. Une bombe à retardement.
Voilà qu'elle a explosé au moins une fois si il a menacé de mort un journaliste.
Un grand trou avale désormais tout ceux et celles qui ont pris la liberté d'expression pour un micro grand public où une scène et qui s'en sont gonflé l'ego à mal escient depuis trop longtemps. Et même si il/elles ne tombaient pas dans ce trou il ne s'en sortirons pas.
Ceux qui en sortent sont de plus en plus vivants. Et nettement plus majoritaires.
Encore cette semaine, visite de Justin Trudeau, combien de manifestants ?
Il n'y a jamais eu de plan de grand reset. Mais commence un certain ressac.
On les surpasse en force mentale et en nombre et la suite sera rien de moins que brutale.
Message for Donald: to write in caps more than two words, is like yelling (or being 4 years old). No one listens by the third word. No one wants to hear the turd yelling either. Your points never gets accross.SHUT UP!
Jeu de briques
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