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Chasse royale à Sandringhamcde S. J Bennett

Par Emeralda @emeralda26000
Chasse royale à Sandringhamcde S. J Bennett
 

Le pitch :

Sa Majesté n’est plus, mais grâce à S. J. Bennett, elle mène toujours l’enquête !
Décembre 2016. Sur une plage du Norfolk, une jeune femme pousse un hurlement : elle vient de voir une main coupée sur le sable. Non loin de là, Elizabeth II prend ses quartiers d’hiver au palais de Sandringham. Grâce à une photo de la macabre découverte, elle a vite fait d’identifier la victime. Il s’agit de Ned St Cyr, une vieille connaissance.
Quand on trouve de la drogue sur la scène de crime et que les fausses pistes se multiplient, Sa Majesté décide qu’il est grand temps de se remettre en chasse. Une nouvelle enquête se profile pour notre fin limier, épaulé par Rozie, son audacieuse secrétaire particulière adjointe. Sera-t-elle couronnée de succès ? 

Ce que j’en pense : 

Un classique depuis des années dans certaines séries de polar est de faire mener l’enquête à des personnages ayant réellement vécus, souvent très connus du public ou proches d’un autre personnage lui très connu (Léonard le coiffeur de la reine Marie-Antoinette, Voltaire…). Prendre sa majesté la reine Elizabeth II était à mon sens osé car elle était encore vivante lors de la sortie des deux premiers volumes que je n’ai pas lus d’ailleurs. Mais pourquoi pas ? 

Que les lecteurs potentiels étant dans la même situation que moi (ne pas avoir lu les tomes 1 et 2) se rassurent. Ce n’est pas une obligation pour rentrer dans l’intrigue. 

Sinon pour le reste, je dirais que c’est assez classique. On prend des éléments bien tangibles et réels. Une intrigue policière factice est ensuite greffée dessus et l’auteur y faire interagir des personnages fictifs et ses héros. 

Dans ce cas, il s’agit ni plus ni moins de la famille royale britannique que l’on connaît forcément un peu. On se mêle encore plus facilement à leur quotidien d’autant plus qu’ils font plus ou moins parti du notre. Sans les suivre, on voit chaque semaine chez le marchand de presse des gros titres. Et la reine Elizabeth était un roc que tous connaissaient. Elle est particulièrement attachante car l’auteur lui prête des pensées et actions qu’on s’imagine proche de ce qui se passait réellement (sauf l’enquête). 

Divertissant et vraiment bien fait. 


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