Pas vraiment, en tous cas pas là où nous le redoutions – il s’agit de fourmis charpentières – mais ailleurs. Il faut traiter et changer quelques chevrons. Dans le bassin fumélois, on a la chance d’avoir sous la main des professionnels réactifs. Les travaux seront réalisés à l’automne. C’est commandé.
Autre tracas : la pelouse devenue pampa devant la terrasse. Une herbe riche en fleurs des champs de toutes les couleurs et donnant refuge à une myriade d’insectes – des sauterelles gigantesques par exemple, et des taons. Impossible de traverser l’espace envahi, sauf avec des bottes et des pantalons longs pour éviter les tiques. Des abeilles, elles, se sont fait un nid dans un conduit de cheminée, désaffecté depuis plus de 30 ans. Difficile de récupérer l’essaim, voire impossible. Il restera en place mais on va obturer de façon absolument étanche la plaque d’obturation afin qu’elles ne puissent sortir que vers le ciel.
Nous avons la chance d’avoir dans notre environnement très proche un pépiniériste, la maison Rigal. Sitôt venu établir un devis, et pressentant une pluie prochaine, il nous a délégué immédiatement une brigade de spécialistes dotés du matériel des grande tontes : quatre hommes en moins d’un après-midi pour refaire de cet espace une pelouse traversable sans équipement spécial.
Bien entendu, nous ne l’arroserons pas. Elle est belle comme ça, « nature ». Mais quel parfum délicieux que celui de l'herbe fraîchement coupée !
Dernier chantier : récupérer une eau de baignade plus bleue que verte : il faut être patient et c’est Camille qui se forme à la technique des nettoyages de filtres.
Différer les interventions n’est pas très rationnel, on doit tout reprendre en même temps.
Mais j’avais des excuses … A présent, je passe le relais à la nouvelle génération.
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble