Magazine Cinéma

Encore, jouer

Par Darkstein

Florilège des derniers jeux Epic Game Store / Steam / Amazon Games testés ces derniers temps !

Encore, jouer

Shapez

Un petit jeu qui n’a l’air de rien : vous devez produire des formes et les mener au coeur de l’usine. A chaque niveau, vous débloquer un nouvel outil vous permettant de découper, tourner, colorer vos productions. Les formes demandées deviennent de plus en plus alambiquées, les tuyaux s’entrecroisent, bref, même si sans stress (pas de compteur, de ressource à doser, etc.), on se retrouve parfois à se tirer les cheveux (et il n’y a pas de CTRL+Z dans le cas où l’on se serait trompé !)

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Out of Line

Jeu de plateforme « dessiné à la main », où l’on se laisse porter par la beauté du jeu, dans des décors « peints à la main », mais où l’on n’oublie pas ses réflexes ! A ne pas forcément mettre entre toutes les mains, car l’ambiance peut être un poil sombre parfois. Puzzle game pas trop complexe mais qui pourra parfois demander un peu de dextérité.

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Book of Demons

Apparemment un jeu d’une série (à venir), à la sauce Diablo, avec pas mal d’autodérision (les noms des méchants). Des personnages que l’on dirait découpés dans du papier, des donjons adaptés au temps que l’on souhaite accorder à la session, pas trop difficile. Passe le temps.

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Bioshock Infinite

Troisième épisode de la série Bioshock, ici je profite de la version Steam, qui, il me semble, ne fournit pas tous les DLC (contrairement à la version Epic Games qui les offrait tous !) Une ambiance qui démarre comme Shutter Island, une ville volante paradisiaque, mais qui cache de noirs secrets, et tout tourne au cauchemar très vite. Et Pan! Boom! Crac!

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On peut cependant être parfois frustré après avoir joué à Far Cry 4 par exemple par le fait d’être limité en terme d’exploration, et les déplacements assez particuliers des ennemis qui ont tendance à vous sauter littéralement dessus.

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Salt & Sanctuary

Si la création du personnage laisse craindre la qualité graphique (assez moche), l’ambiance et les décors sont bien au-delà. Sombre, flou, atmosphère lugubre, tout y est. La frustration du hack’n’slash aussi.

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Lego Indiana Jones – The Original Adventures

Bon, d’accord, le jeu date de 2008 et est sorti seulement 3 ans après le premier jeu adapté de Star wars, mais bon sang qu’est-ce que cette version Steam est buggée !

Impossibilité de sauter d’une plateforme à l’autre (a priori un bug connu, il faut modifier la synchronisation verticale dans les options ?), personnage bloqué ad nauseam suite à une explosion avec impossibilité de switcher sur un autre personnage, et comme il n’y a pas de sauvegarde intermédiaire, … Obligé de recommencer tout le niveau…

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Pourtant, adapter la trilogie « officielle » d’Indiana Jones, ça fait plaisir, et on retrouve les cinématiques « à la Lego » avec un réel bonheur (même si c’était encore l’époque des cinématiques sans parole…)


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