Joe Elliott de Def Leppard révèle sa chanson McCartney préférée des années 70 !

Joe Elliott, chanteur emblématique de Def Leppard, dévoile sa passion pour les Beatles et élit “Little Lamb Dragonfly” de Paul McCartney comme sa chanson favorite, un morceau mélancolique de 1973.

Il est pratiquement impossible de trouver un musicien important des cinq dernières décennies qui n’ait pas été touché par au moins quelques chansons des Beatles ou par les efforts en solo qui ont suivi. Tout au long des années 1960, le duo d’auteurs-compositeurs formé par Paul McCartney et John Lennon a changé la culture occidentale presque à lui seul, en repoussant les limites préconçues de l’art sonore et en définissant les tendances visuelles d’une jeunesse en pleine effervescence.

En tant que groupe se trouvant au bon endroit au bon moment, la domination des Beatles ne s’est pas limitée à la musique. En conséquence, même ceux qui ne s’intéressent pas au groupe ont été touchés par l’effet domino de ces quatre remarquables garçons de Liverpool. Pour Joe Elliott, le chanteur du groupe de hard rock Def Leppard de Sheffield, les Beatles ont été un véritable coup de foudre.

Joe Elliott a découvert la musique des Beatles dans les années 1960, pendant son enfance. Il a grandi en regardant le groupe se transformer de vadrouilleurs en hippies colorés à l’esprit vagabond. Lorsqu’il est devenu adolescent dans les années 1970 et qu’il a commencé à construire sa propre carrière, Elliott a continué à suivre les Beatles, désormais séparés, mais l’influence des héros du glam a commencé à éclipser sa conscience.

À l’occasion du 80e anniversaire de McCartney en 2022, Stereogum a demandé à un large éventail de musiciens célèbres de choisir leur chanson préférée attribuée au Beatle. Elliott a choisi “Little Lamb Dragonfly”, un morceau populaire figurant sur l’album Red Rose Speedway de 1973.

Avec le plus grand respect pour tout ce qu’il a écrit dans le monde, et les évidents “Live And Let Die”, “Band On The Run”, “Jet”, etc., je choisis “Little Lamb Dragonfly” sur Red Rose Speedway”, a commencé Elliott en justifiant son choix.

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“Lorsque j’ai entendu cette chanson pour la première fois, j’avais 13 ou 14 ans. Elle avait quelque chose de très mélancolique qui m’a séduit. On aurait dit que quelqu’un faisait de la licence poétique sur des phrases, assis sur une couverture dans un champ de campagne en train de pique-niquer”, a-t-il poursuivi.

Et d’ajouter : “C’était la chanson la plus éloignée de ce que l’on pourrait attendre des Beatles. Ce n’était pas ‘Helter Skelter’ ou ‘Strawberry Fields Forever’, où ils repoussaient les limites. C’était juste un gars, une douce partie de guitare, de très belles mélodies. Aujourd’hui encore, quand je l’entends, je me sens tout penaud. C’est une belle complainte, presque une comptine pour enfants”.

Développant sa discussion, Elliott a souligné l’impact de McCartney sur sa vie, même pendant ses années d’école maternelle. Des proches m’ont raconté qu’à l’âge de trois ou quatre ans, je faisais semblant d’être Paul McCartney avec une guitare en plastique, debout sur un petit tabouret, et je chantais “Love Me Do” à qui voulait bien l’entendre. “Je savais évidemment qui étaient les Beatles et j’étais un grand fan des singles quand j’étais enfant. Et je suis toujours aussi fan d’eux aujourd’hui, avec la nouvelle perspective de mes soixante ans”.

“Mais en devenant adolescent, je n’écoutais plus les Beatles”, a-t-il ajouté, évoquant sa distraction glam de l’adolescence. “Ils n’existaient plus. Nous avions Marc Bolan et David Bowie. Je savais très bien qui était McCartney. Je pense que c’était probablement ‘Live And Let Die’ et ‘Jet’, tous les trucs des environs de 73, quand il était à nouveau rock. L’album Band On The Run est fantastique, c’est mon album préféré de McCartney. Cela dépend de mon humeur. Si je veux faire du rock et écouter McCartney, j’écouterai Band On The Run. Si je veux m’asseoir dans mon bain avec des bougies allumées, je choisirai Red Rose Speedway. Ce sont des albums d’ambiance”.

Écoutez “Little Lamb Dragonfly” de Paul McCartney ci-dessous.