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Des psychiatres viendront en aide aux enfants souffrant de troubles à l’annonce éventuelle de la mort de Harry Potter.

Par Constantin Xenakis

Alors que le dernier film en date de la série sort cette semaine dans les salles de Suisse romande, les fans de Harry Potter subissent ces jours-ci un suspense particulièrement incommode.

L’auteur J.K. Rowling rendra en effet publique, le 21 juillet prochain, le contenu du septième et dernier tôme de la série. Le monde entier saura alors si le célèbre magicien mourra à la fin de cet ultime épisode.

Après avoir suivi tout au long de leur jeune vie les aventures de Harry Potter, des millions d’enfants de par le monde pourraient souffrir de traumatismes découlant de la mort du célèbre magicien binoclard ou d’un des autres personnages secondaires de la série, lesquels, à leurs yeux, auraient la même importance qu’un animal de compagnie ou d’un membre de la famille. C’est ce que craignent non seulement des parents d’enfants mais également des pédopsychiatres en Angleterre et aux Etats-Unis, à l’approche de la publication de «Harry Potter and the Deathly Hallows».

Une haute éminence de la psychiatrie enfantine américaine, Michael Brody, a du coup décidé de prévenir les parents du monde entier en les invitant à préparer leurs progénitures face au choc que pourrait constituer l’éventuelle annonce de la mort de Harry Potter. Ce médecin a développé trois démarches à adopter consistant à 1) ne pas penser que les enfants seront traumatisés à vie 2) à utiliser cette expérience comme une leçon de vie 3) et à ne pas banaliser cette «tragédie» en déclarant «C’est juste un livre!».


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