Selon l'AFP
Philippe Nuss (Psychiatre Hôpital Saint-Antoine) : "Les consommations dangereuses chez les jeunes sont des consommations impulsives et fortes"..."Il faut travailler sur la sensation, pas sur la loi. Ce qui aide les jeunes, c'est quand on parle de leurs émotions et de la contradiction des émotions".
Marie Choquet (Chercheuse Inserm) : "L'interdiction seule, c'est montrer qu'il faut que les jeunes se taisent et qu'on se fiche de leur mal-être". Elle plaide au contraire pour la mise en place de moyens "pour aider et prévenir", citant la prévention de la dépression, des troubles du comportement ou des violences sexuelles subies, tenus comme des facteurs favorisant une consommation abusive d'alcool.