On la comprend, la petite Écossaise, qui s'est fait refuser l'une des distinctions les plus importantes des États-Unis, parce que dans ses livres, elle incitait, avait estimé le président Bush, qui ne les avait sûrement pas lus, à la pratique de la sorcellerie...
Alors forcément, elle a besoin de faire le vide, de tourner la page, de marquer une pause, et si elle doit continuer à écrire, alors ce sera autre chose...
C'est durant une vente aux enchères de trois billets pour un défilé de mode de Stella McCartney, qui se tiendra à Paris, qu'elle a coupé court à Harry. Présente pour faire rentrer des fonds dans la Fondation Rasia Gorbatchev, la romancière a lâché qu'elle travaillait « sur quelque chose, mais ce n'est pas Harry Potter ». Crime ! Hérésie !
« J'ai besoin de couper les ponts avec Harry. »
Et là, elle vient de décimer des millions de fans.