C. m'écrit un mot quant aux mandarin(e)s soixantenaires amers qui occupent ici et là de nombreux postes "à responsabilités illimités", qui vivent de subventions publiques depuis trente ans, qui passent leurs temps entre villa bord de l'eau, colloques tous frais payés au pied du Fujiyama et autres menus plaisirs :
C'est en raison de l'analité galopante de cette génération que nous sommes aujourd'hui tous sur la paille... Donc, tous à vos fourche !!! Ceux-là n'ont jamais eu assez de leur deux mains pour ramasser tout ce qui était récupérable et ont le toupet de vous faire la morale.
C'est évident : je me sens beaucoup mieux après avoir reçu un tel mail. Merci C. !