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L'assassinat de John Fitzgerald Kennedy, Oswald manipulé ?

Publié le 26 août 2010 par Jcgrellety

Arte a diffusé mercredi 25 Août 2010 le programme "Kennedy-Oswald, le fantôme d'un assassinat". Etant donné le nombre et la haine de ses "ennemis" à son endroit, Kennedy a pu être assassiné par et pour des mafieux, des agents secrets américains, des Cubains, des extrémistes de droite texans. Mais pour l'instant, le tueur officiel est Lee Harvey Oswald. Pendant des années, la piste des groupes d'ennemis indiqués ci-avant a été privilégiée par celles et ceux qui étudiaient l'affaire, mais près de 50 ans plus tard, les spécialistes actuels ont tendance à valider la thèse officielle, à savoir que le président des Etats-Unis a été assassiné par Lee Harvey Oswald, et c'est ce que le dit programme s'est attaché à faire. Pourtant, à AUCUN MOMENT, les défendeurs de la thèse officielle n'expliquent la MOTIVATION de ce crime. Pourquoi L.H.O aurait-il voulu assassiner JFK ? Est-ce que dans sa vie connue L.H.O a manifesté une haine particulière contre JFK ? Malgré le silence pour une telle question essentielle, on répond et répondra que les faits plaident pour cette culpabilité, et, en effet, selon LES APPARENCES, tout OU PRESQUE plaide en faveur de la culpabilité d'Oswald. Par exemple, on signale le fait qu'il a laissé son alliance chez lui ainsi que 170 dollars, une forte somme pour lui (avant de trouver du travail au Texas School Book Depository, il était chômeur). Il avait travaillé depuis un mois. Une partie de cette somme provenait-elle de son salaire ? Un autre travail lui aurait-il été payé d'avance par quelqu'un ? Car ON lui a peut-être demandé un service pour ce 22 Novembre : transporter un objet au TSBD et le récupérer à une heure précise. Dans le dossier d'enquête et d'incrimination, on indique qu'on a trouvé des traces de tissu sur le fusil Carcano dont la police a établi qu'il a servi pour tuer JFK. On en déduit que L.H.O s'est donc servi de ce fusil, qu'il aurait même acheté par correspondance sous un faux nom qu'il avait crée. Mais étant donné que L.H.O était placé sous une surveillance étroite de la CIA (et pas du FBI, il n'en est jamais question dans l'enquête, alors que Hoover le dirigeait...), rien ne prouve que cette commande n'a pas été faite par une tierce personne POUR LUI ETRE ATTRIBUE POSTERIEUREMENT, ni qu'il a pu touché cette arme, PRESENTE PAR LA MEME TIERCE PERSONNE OU PAR UNE AUTRE, sous une justification importante (surveiller et protéger le convoi présidentiel). L.H.O semblait beaucoup aimer son épouse, et parler de ce qu'il faisait ou entreprenait. Quelques mois plus tôt, elle a affirmé qu'il lui avait appris postérieurement à son acte la tentative d'assassinat sur le Général Walker. Il lui en a donc parlé, mais peut-être avant même son acte. S'il avait décidé de tuer JFK, étant donné les risques qu'il se savait encourir, pourquoi ne lui en aurait-il pas parlé, alors même que certains interprètent l'offre qu'il lui fit de l'accompagner le 22 novembre à Dallas pour éviter d'accomplir ce qu'il projetait de faire, et qu'il aurait été plus cohérent qu'il décide au contraire de ne pas l'amener à Dallas le jour même où il devait accomplir cet acte ? ! Quant à sa bague, on peut aussi penser qu'il a fait cela pour impressionner sa femme, alors qu'elle avait refusé de le suivre. Dès qu'il est arrêté et qu'il est accusé de ce crime, il répond qu'il est victime d'un coup monté. Les interrogatoires ne font pas l'objet d'un enregistrement en bonne et due forme ! Et moins de 24 heures après, il est assassiné, et du coup, ne peut plus répondre à la moindre question. Son assassin fournit une piste intéressante. Mais il y a plus. Que le tireur fut Oswald ou un autre, d'où a t-il tiré ? La thèse officielle est la suivante : 6ème étage du TSBD. Si tel était le cas, il faudrait donc que la trajectoire des balles fut oblique (allant du haut vers le bas). La première balle a été extrêmement perforatrice, alors que la seconde, censée provenir d'une hauteur arrière, n'a pas semblé avoir défiguré JFK ?  Sur les images au ralenti, la balle semble parcourir une ligne horizontale. A l'époque de Bones, étant donné que les relevés médicaux, policiers, sur le corps de JFK ont été baclés, pour ne pas dire plus, il semblerait nécessaire que le corps de JFK soit exhumé pour qu'une étude précise du crâne soit effectué. Car sur une telle affaire, il est vertigineux d'être confronté à tant d'à peu près et d'ignorances, quand tant d'affaires criminelles bénéficient de nombreuses expertises dignes des "Experts"... La culpabilité d'Oswald arrangeait beaucoup de monde, et notamment tous les idéologues d'extrême-droite qu'ils soient citoyens ou agents de la CIA, du FBI. Pensez ! Un "gauchiste" qui avait voyagé en URSS, qui manifestait publiquement sa sympathie pour Castro, qui se disait marxiste. Auraient-ils voulu et aimé que le lien soit fait entre Oswald et l'URSS ? Fort heureusement pour les Soviétiques, aucun agent ne traînait dans les parages d'Oswald. Mais il était par contre cerné par les agents de la CIA (et je le répète, pas du FBI d'Hoover ? !). Complot il y a eu. D'un homme seul, Oswald, peut-être, mais plus probablement d'un ensemble d'individus. Il faut se mettre à leur place pour tenter de les comprendre et de savoir qui ils sont. A leurs yeux, JFK est très, trop dangereux. Il faut donc trouver quelqu'un pour faire le boulot; et trouver quelqu'un pour en être accusé (l'histoire se répète avec Oswald et Ruby). Ruby semble être logiquement la clé. Il fallait donc enquêter sérieusement sur ce point de départ. Car Ruby avait des relations avérées avec des mafieux. Une hypothèse sérieuse, c'est donc que des membres d'une mafia auraient trouvé de l'aide auprès d'agents "autonomes" ou non de la CIA pour mettre en place cette exécution-élimination parce que les deux organisations y auraient trouvé un intérêt profond : pour les premiers, faire arrêter les enquêtes du frère Kennedy, Robert, et pour les seconds, un motif déterminant parmi plusieurs possibles. Dans ce cas, Oswald aurait été manipulé de A à Z. Il aurait servi d'écran...

Sur son lit de mort, un policier aurait confié à son fils avoir fait partie d'un commando qui a réalisé l'assassinat de JFK


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