The Social Network.

The Social Network, ou comment raconter l'histoire (Fictive ? Véritable ?) du célèbre site Facebook. On commence en 2003, projeté en plein Boston, le jeune Mark Zuckerberg alors simple étudiant en informatique à Harvard se fait larguer par sa copine. Sous l'emprise de l'alcool celui ci se lance dans le hackage du réseau de Harvard et y créer un site, Facemash. Alors comment passe t'on de ce simple site où les étudiants d'Harvard clique sur la fille qu'il trouvent la plus belle, au réseaux social de 500 000 000 d'utilisateur évalué à plus de 25 milliards de dollars ? C'est ce que vous propose de découvrir ce film, entre manipulation, trahison. Je ne vais pas raconter toute l'histoire, celle-ci étant déjà assez connue et puis parce que si vous ne l'avez pas vu, vous irez surement voir le film ;). Ainsi voilà la vie du créateur de Facebook de 2003 à je ne sais plus quand mais ça doit être 2008 ou 2009. Une des affiches du film décrivait Mark Zuckerberg ainsi: Voyou, Génie, Traître, Milliardaire. Et pourtant, je n'ai pas trouvé que l'image diffusé par ce film était celle-ci. On y voit le PDG de Facebook comme un geek avec du génie qui lance son propre site et qui à des ambitions pour celui-ci, ambitions qu'il réalisera coûte que coûte même s'il faut pour cela évincer son meilleur ami.
Côté réalisation c'est le réalisateur du célèbre Fight Club que l'on retrouve, David Fincher qui nous offre à nouveau un film excellent. Petit bémol néanmoins, les passages histoire raconté/procès sont un peu confus au début du film, le spectateur peut être un peu désorienté mais au bout de quelques minutes on comprend ce qui se passe.

Pour ce qui est des acteurs, rien à redire ils sont tous impeccables. De Andrew Garfield qui incarne Eduardo l'ancien meilleur ami de Mark et co-fondateur de Facebook à Justin Timberlake dans le rôle de Sean Parker le co-fondateur de Napster, le jeux est crédible, réel. Nous vivons l'aventure, l'histoire de Facebook et si les personnages de ce films existent vraiment, on les a en face de nous. Mais The Social Network ne serait pas ce qu'il est sans son Mark Zuckerberg, Jesse Eisenberg. Personnellement, je lui tire mon chapeau ! Vu en version original, la prouesse technique, le jeux est encore plus impressionnant. Passer de Colombus dans Zombieland à Mark Zuckerberg dans The Social Network tout en jouant aussi bien, il faut le faire ! Bref, vous l'aurez compris si vous n'avez pas encore vu The Social Network, il faut que vous alliez le voir !
18/20Jag'
PS: c'est fou comme quoi, même après avoir vu The Social Network, Facebook reste un réflexe !
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A mon tour maintenant de vous parler de ce film que nous attendions tous avec plus ou moins d'impatience. En effet, c'est David Fincher qui nous concocte cette histoire, on a tous nos raisons d'aimer ce réalisateur, soit pour la grande baffe que nous a infligé le très populaire Fight Club, pour l'affaire plus ou mains étrange de Seven, le suspense de l'étouffant Panic Room ou encore pour la délicatesse, la lenteur et le romantisme de L'étrange histoire de Benjamin Button.Ici, Fincher change à nouveau d'univers,k s'attaquant aux jeunes. A ces jeunes très intelligents, prétentieux et ambitieux. C'est donc la création du réseau que l'on connait tous Facebook qui est au centre de l'histoire, oui... mais Facebook apparaît très vite comme une raison anecdotique de faire un film sur des jeunes qui croient pouvoir changer le monde, qui s'en donnent les moyens aussi. On voit donc les étudiants se déchirer, réfléchir aussi, rire parfois, faire la fête, et construire Facebook.Le film est construit sur des flash-back, un procédés couramment utilisé mais assez troublants ici.On est vite absorbé par l'histoire du plus jeune milliardaire du monde et le film apparaît très court, il survole plusieurs sujets sans jamais entrer approfondir, nous épargnant ainsi des longueurs mais le film s'en trouve peut-être diminuer, s'attarder un peu plus sur chaque personnages et les liens les unissant les uns aux autres auraient pu apporter un peu plus de profondeur au récit.

Coté réalisation, David Fincher nous entraîne toujours aussi bien dans les fêtes nous collant une musique bien sympa et bien forte dans les oreilles. On sent qu'il s'est réellement amusé lors de la scène de la compétition d'aviron que j'ai trouvée magnifique, jouant avec la mise au point et les couleurs.C'est toutefois coté acteurs que l'on en a pour notre argent, Jesse Eisenberg, l'anti-héro toujours en train de faire une moue assez étrange, il semble totalement déconnecté de la réalité, à l'opposé Justin Timberlake et Andrew Garfield sont tout ce qu'il y a de plus charismatiques, tous deux aussi impressionnants l'un que l'autre (bien qu'on ne soit guère surpris par la prestation d'Andrew Garfield qui nous a déjà habitué à être excellent).
Au final, je serai donc un peu plus nuancée que Jag bien que ce soit un film de qualité, je vous encourage donc à aller le voir pour vous faire votre idée... On ne voit pas que des lignes de codes et des nerds devant leurs écrans, ce n'est pas un film sur facebook mais sur les gens qui en sont à l'origine, bien différent !
16/20Silice