« J'espère qu'un jour il t'arrivera de faire quelque chose
que tu ne comprendras pas pour quelqu'un que tu aimes. »
Oskar, 9 ans, surdoué, tente de comprendre l'impossible, la mort de son père, disparu lors des attentats du 11 septembre.
J'aurais vraiment voulu aimer ce livre. Être touchée par le premier drame de ce garçon, la surdouance qui rend son intégration si difficile. Insuffisamment innocent et trop lucide, ni enfant, ni adulte, où est sa place ?
J'aurais préféré être émue par la quête de ce petit garçon. Comprendre, donner du sens car sans lui, tout s'arrête. Malheureusement, dès le départ rien ne m'a accroché Si j'ai trouvé justifié le fait de passer du coq à l'âne – puisqu'Oscar est le narrateur et que ses pensées foisonnantes fusent à la vitesse de la lumière – l'éparpillement ne m'a pas aidée bien au contraire. Quelques perles ici et là, des passages drôles et émouvants mais enfouis dans une masse épaisse hermétique
Une histoire proche Du bizarre incident du chien pendant la nuit dont j'ai préféré la lecture
Points, 460 pages, 2007
Un extrait...
« (...) j'ai lu dans National Geographic qu'il y a plus de gens vivants aujourd'hui qu'il n'en est mort dans toute l'histoire de l'humanité. Autrement dit, si tout le monde voulait jouer Hamlet en même temps, ce serait impossible, parce qu'il n'y a pas assez de crânes ! »
Une lecture commune avec Keisha dont je me demande quel sera l'avis...
Lu dans le cadre...
9/16
Un coup de cœur de Reka.
Par Theoma - Publié dans : Romans étrangers - Communauté : Salon LectureEcrire un commentaire 0 - Voir le commentaire - Voir les 0 commentaires - Partager ' ); YAHOO.util.Selector.query( 'input', dial.getEl(), true ).focus(); }, this, true ); return false; " title="Partager par adresse simplifiée"> Précédent : L'homme du lac – Arnaldur Indridason Retour à l'accueil