Je le regrette un peu mais je n'étais pas à Paris mercredi.
Je me devais d'être auprès de quelqu'un avec qui je travaille tous les jours,qui me fait penser à ceci,cela,qui me connaissant entre mes rendez-vous m'appelle en me disant tu n'as pas oublié que....tu sais que tu dois....,bref elle est devenue une amie c'est un plaisir de l'avoir à mes côtés aussi je me devais bien d'être avec elle pour accompagner un être cher à son dernier domicile comme l'on dit.
Je suis passée entre les flocons même si j'ai mis trois fois plus de temps sur le chemin du retour.
Je n'ai pas résisté à sortir à la nuit tombée,
Hier c'était sous un ciel dégagé que j'ouvrais nos volets.
Ma rue étant complètement verglacée je décidais de reporter à l'après-midi mes activités et de m'offrir une promenade matinale
Un saut à Paris tout de même.
Dans mon jardin préféré,principe de précaution oblige,beaucoup d'endroits étaient interdits.
Je n' y ai jamais vu autant de fauteuils abandonnés
Alors je me suis approchée des statues que bien souvent on délaisse
Cette pauvre George Sand m'a fait pitié.
Elle semblait bien enrhumée et surtout très triste.
Elle n'a pas arrêté de pleurer,j'ai bien essayé de la consoler,mais rien n'y faisait
Je l'ai laissée à son triste sort je l'avoue pour aller me réchauffer sous la jolie lumière qui nimbait le Panthéon
Puis j'ai repris ma quête d'atmosphère vers Saint Germain où je voulais éclaircir certaines choses
Mais ce sera pour plus tard