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The Kinks #1-Face To Face-1966

Publié le 31 juillet 2011 par Numfar
The Kinks #1-Face To Face-1966

The Kinks #1 :

Ray Davies : chant, guitare, claviers

Dave Davies : chant, guitare solo

Pete Quaife : basse

Mick Avory : batterie

Février 1966, nouveau single : “Dedicated follower of fashion-sittin’ on my sofa (R. Davies)” (#4 UK-#36 US), qui établit définitivement le nouveau style du groupe.

En mai 1966, Pete Quaife est blessé dans un accident de voiture et est remplacé durant plusieurs mois par John Dalton.

Juin 1966, nouveau single : “Sunny afternoon-I’m not like everybody else (R. Davies)” (#1 UK-#14 US).

Troisième et dernier No.1 anglais pour les Kinks et probablement leur plus gros succès avec “You really got me”.

La face B : “I’m not like everybody else” va rapidement devenir un titre culte et comme le “Summertime blues” d’Eddie Cochran et le “My generation” des Who, peut-être considéré comme précurseur du mouvement punk.

Novembre 1966, premier chef d’oeuvre des Kinks : “Face To Face” (#12 UK-#135 US), produit par Shel Talmy.

Party line

Rosy won’t you please come home

Dandy

Too much on my mind

Session man

Rainy day in June

House in the country

Holiday in Waikiki

Most exclusive residence for sale

Fancy

Little miss Queen of darkness

You’re looking fine

Sunny afternoon

I’ll remember

(Ray Davies)

Musiciens additionnels :

John Dalton : basse (Little miss Queen of darkness )

Nicky Hopkins : claviers

Un chef d’oeuvre, je le répète, dont les classiques s’appellent “Party line”, “Rosy won’t you please come home”, “Dandy” (qui sera un tube pour Herman’s Hermit), “Holiday in Waikiki”, “Little miss queen of darkness” et bien sûr “Sunny afternoon”.

Autre titre d’inspiration indienne : “Fancy”, une voie que le groupe abandonnera rapidement.

John Dalton est crédité officiellement sur "miss Queen of darkness" mais joue probablement de la basse sur d'autres titres.

Le même mois, sortie du single : “Dead end street-Big black smoke (R. Davies)” (#5 UK-#53 US).

“Dead end street” est certainement l’un des plus beaux titres des Kinks, l’un de mes préférés en tout cas, et parle des sujets les plus pauvres de Sa Majesté .

Le titre sera accompagné d’un clip de l’époque, montrant les Kinks déguisés en croque-morts, clip bien évidemment censuré par la BBC.

© Pascal Schlaefli

Urba City

Juillet 2011


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