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Actualité pourquoi es tu si dure et de plus en plus dure?

Publié le 23 septembre 2011 par Marigotine

 

En visite.

Sans vouloir me mêler de ce qui ne me regarde pas...

                       Mais Benoit, tu ferais mieux d'aller en Somalie avec de la nourriture terrestre...

   Plutôt  que de sourire "Benoitement" à ces enfants qui ne manquent pas du nécessaire vital !

<b></div>En visite</b>. Jeudi, dès son arrivée en Allemagne, le pape Benoît XVI a été accueilli par des sympathisants, comme ici ou des jeunes enfants l’attendaient à l’aéroport international de Tegel. Ce voyage de quatre jours dans son pays natal est à haute portée politique et œcuménique. Il s'agit de son troisième voyage dans son pays après les Journées mondiales de la jeunesse (JMJ) à Cologne en 2005, peu après son élection, et sa venue dans sa Bavière natale en 2006. Au total, plus de vingt rendez-vous sont organisés et il prononcera dix-huit discours lors des trois étapes de cette visite, exceptionnellement chargée pour un homme de 84 ans. En visite. Jeudi, dès son arrivée en Allemagne, le pape Benoît XVI a été accueilli par des sympathisants, comme ici ou des jeunes enfants l’attendaient à l’aéroport international de Tegel. Ce voyage de quatre jours dans son pays natal est à haute portée politique et œcuménique. Il s'agit de son troisième voyage dans son pays après les Journées mondiales de la jeunesse (JMJ) à Cologne en 2005, peu après son élection, et sa venue dans sa Bavière natale en 2006. Au total, plus de vingt rendez-vous sont organisés et il prononcera dix-huit discours lors des trois étapes de cette visite, exceptionnellement chargée pour un homme de 84 ans. " title="Actualité pourquoi es tu si dure et de plus en plus dure?" />En visite. Jeudi, dès son arrivée en Allemagne, le pape Benoît XVI a été accueilli par des sympathisants, comme ici ou des jeunes enfants l’attendaient à l’aéroport international de Tegel. Ce voyage de quatre jours dans son pays natal est à haute portée politique et œcuménique. Il s'agit de son troisième voyage dans son pays après les Journées mondiales de la jeunesse (JMJ) à Cologne en 2005, peu après son élection, et sa venue dans sa Bavière natale en 2006. Au total, plus de vingt rendez-vous sont organisés et il prononcera dix-huit discours lors des trois étapes de cette visite, exceptionnellement chargée pour un homme de 84 ans. " border="0" /> Jeudi, dès son arrivée en Allemagne, le pape Benoît XVI a été accueilli par des sympathisants, comme ici ou des jeunes enfants l’attendaient à l’aéroport international de Tegel. Ce voyage de quatre jours dans son pays natal est à haute portée politique et œcuménique. Il s'agit de son troisième voyage dans son pays après les Journées mondiales de la jeunesse (JMJ) à Cologne en 2005, peu après son élection, et sa venue dans sa Bavière natale en 2006. Au total, plus de vingt rendez-vous sont organisés et il prononcera dix-huit discours lors des trois étapes de cette visite, exceptionnellement chargée pour un homme de 84 ans. (Thomas Peter/REUTERS) La madone de la faim. Dieu, Benoit ou n'importe qui aidez nous je vous en supplie....
<b></div>La madone de la faim.</b> Cette jeune femme s’appelle Howa Ali et elle fait partie d’un convoi d’une centaine de familles somaliennes, récemment arrivées à Mogadiscio au terme d’une marche de vingt jours qui a coûté la vie à une trentaine de leurs enfants. Le regard levé, elle n’attend visiblement plus rien des hommes, pas même de ceux qui viennent jusqu’à cet abri de fortune pour distribuer un peu de nourriture ou pour témoigner de l’immensité de leur détresse. Installés dans les ruines de la cathédrale– détruite par les islamistes en 1990 après l’assassinat de son évêque –, ces réfugiés dorment à même les gravats, sans sanitaires ni bâches, et beaucoup d’entre eux souffrent de la rougeole.La madone de la faim. Cette jeune femme s’appelle Howa Ali et elle fait partie d’un convoi d’une centaine de familles somaliennes, récemment arrivées à Mogadiscio au terme d’une marche de vingt jours qui a coûté la vie à une trentaine de leurs enfants. Le regard levé, elle n’attend visiblement plus rien des hommes, pas même de ceux qui viennent jusqu’à cet abri de fortune pour distribuer un peu de nourriture ou pour témoigner de l’immensité de leur détresse. Installés dans les ruines de la cathédrale– détruite par les islamistes en 1990 après l’assassinat de son évêque –, ces réfugiés dorment à même les gravats, sans sanitaires ni bâches, et beaucoup d’entre eux souffrent de la rougeole." title="Actualité pourquoi es tu si dure et de plus en plus dure?" />La madone de la faim. Cette jeune femme s’appelle Howa Ali et elle fait partie d’un convoi d’une centaine de familles somaliennes, récemment arrivées à Mogadiscio au terme d’une marche de vingt jours qui a coûté la vie à une trentaine de leurs enfants. Le regard levé, elle n’attend visiblement plus rien des hommes, pas même de ceux qui viennent jusqu’à cet abri de fortune pour distribuer un peu de nourriture ou pour témoigner de l’immensité de leur détresse. Installés dans les ruines de la cathédrale– détruite par les islamistes en 1990 après l’assassinat de son évêque –, ces réfugiés dorment à même les gravats, sans sanitaires ni bâches, et beaucoup d’entre eux souffrent de la rougeole." border="0" />  Cette jeune femme s’appelle Howa Ali et elle fait partie d’un convoi d’une centaine de familles somaliennes, récemment arrivées à Mogadiscio au terme d’une marche de vingt jours qui a coûté la vie à une trentaine de leurs enfants. Le regard levé, elle n’attend visiblement plus rien des hommes, pas même de ceux qui viennent jusqu’à cet abri de fortune pour distribuer un peu de nourriture ou pour témoigner de l’immensité de leur détresse. Installés dans les ruines de la cathédrale– détruite par les islamistes en 1990 après l’assassinat de son évêque –, ces réfugiés dorment à même les gravats, sans sanitaires ni bâches, et beaucoup d’entre eux souffrent de la rougeole. (Pascal Maitre/Cosmos) Exécuté. Déja presque mort, une sentance inhumaine après tant d'années enfermé.  
<B></div>Exécuté</b>. Troy Davis aura clamé son innocence jusqu'au bout. En vain. Ni les manifestations de soutien, ni les ultimes recours - tous rejetés - déposés par ces avocats, n'auront pu sauver l'homme condamné en 1991 pour le meurtre d'un policier blanc. Il a été exécuté par injection létale ce jeudi matin à 5h08, heure de Paris, dans le pénitencier de Jackson en Géorgie. Devant la famille du défunt, les autorités et les quelques journalistes présents il a eu ces quelques mots en évoquant la mort du policier: «Ce n'était pas de ma faute, je n'avais pas d'arme (…). À ceux qui s'apprêtent à m'ôter la vie, que Dieu vous bénisse». À l'extérieur de la prison des centaines de personnes ont accueilli la nouvelle dans un profond abattement après avoir espéré pendant des heures un improbable geste de la Cour Suprême des États-Unis. Exécuté. Troy Davis aura clamé son innocence jusqu'au bout. En vain. Ni les manifestations de soutien, ni les ultimes recours - tous rejetés - déposés par ces avocats, n'auront pu sauver l'homme condamné en 1991 pour le meurtre d'un policier blanc. Il a été exécuté par injection létale ce jeudi matin à 5h08, heure de Paris, dans le pénitencier de Jackson en Géorgie. Devant la famille du défunt, les autorités et les quelques journalistes présents il a eu ces quelques mots en évoquant la mort du policier: «Ce n'était pas de ma faute, je n'avais pas d'arme (…). À ceux qui s'apprêtent à m'ôter la vie, que Dieu vous bénisse». À l'extérieur de la prison des centaines de personnes ont accueilli la nouvelle dans un profond abattement après avoir espéré pendant des heures un improbable geste de la Cour Suprême des États-Unis. " title="Actualité pourquoi es tu si dure et de plus en plus dure?" />Exécuté. Troy Davis aura clamé son innocence jusqu'au bout. En vain. Ni les manifestations de soutien, ni les ultimes recours - tous rejetés - déposés par ces avocats, n'auront pu sauver l'homme condamné en 1991 pour le meurtre d'un policier blanc. Il a été exécuté par injection létale ce jeudi matin à 5h08, heure de Paris, dans le pénitencier de Jackson en Géorgie. Devant la famille du défunt, les autorités et les quelques journalistes présents il a eu ces quelques mots en évoquant la mort du policier: «Ce n'était pas de ma faute, je n'avais pas d'arme (…). À ceux qui s'apprêtent à m'ôter la vie, que Dieu vous bénisse». À l'extérieur de la prison des centaines de personnes ont accueilli la nouvelle dans un profond abattement après avoir espéré pendant des heures un improbable geste de la Cour Suprême des États-Unis. " border="0" /> Troy Davis aura clamé son innocence jusqu'au bout. En vain. Ni les manifestations de soutien, ni les ultimes recours - tous rejetés - déposés par ces avocats, n'auront pu sauver l'homme condamné en 1991 pour le meurtre d'un policier blanc. Il a été exécuté par injection létale ce jeudi matin à 5h08, heure de Paris, dans le pénitencier de Jackson en Géorgie. Devant la famille du défunt, les autorités et les quelques journalistes présents il a eu ces quelques mots en évoquant la mort du policier: «Ce n'était pas de ma faute, je n'avais pas d'arme (…). À ceux qui s'apprêtent à m'ôter la vie, que Dieu vous bénisse». À l'extérieur de la prison des centaines de personnes ont accueilli la nouvelle dans un profond abattement après avoir espéré pendant des heures un improbable geste de la Cour Suprême des États-Unis. (Erik S. Lesser/AFP) Grandeur. Parfois la beauté d'un projet artistique peut devenir indescent quand on voit les clichés du dessus.....
<b></div>Grandeur</b>. C’était leur projet depuis plusieurs années, c’est maintenant une réalité. Deux designers coréennes, Johan Olin et Aamu Song exposent au York Hall Center de Londres, leur dernière création : une immense robe rouge. Cette «Redress», qui a nécessité plus de 550 mètres de tissu pour sa conception, pourra être portée par un artiste, accompagné d’un public de 238 personnes qui prendront place dans les poches colossales en forme de plis. Le duo a déjà reçu plusieurs prix pour cette œuvre, qui a aussi été exposée en Allemagne, en Norvège et en Finlande. Grandeur. C’était leur projet depuis plusieurs années, c’est maintenant une réalité. Deux designers coréennes, Johan Olin et Aamu Song exposent au York Hall Center de Londres, leur dernière création : une immense robe rouge. Cette «Redress», qui a nécessité plus de 550 mètres de tissu pour sa conception, pourra être portée par un artiste, accompagné d’un public de 238 personnes qui prendront place dans les poches colossales en forme de plis. Le duo a déjà reçu plusieurs prix pour cette œuvre, qui a aussi été exposée en Allemagne, en Norvège et en Finlande. " title="Actualité pourquoi es tu si dure et de plus en plus dure?" />Grandeur. C’était leur projet depuis plusieurs années, c’est maintenant une réalité. Deux designers coréennes, Johan Olin et Aamu Song exposent au York Hall Center de Londres, leur dernière création : une immense robe rouge. Cette «Redress», qui a nécessité plus de 550 mètres de tissu pour sa conception, pourra être portée par un artiste, accompagné d’un public de 238 personnes qui prendront place dans les poches colossales en forme de plis. Le duo a déjà reçu plusieurs prix pour cette œuvre, qui a aussi été exposée en Allemagne, en Norvège et en Finlande. " border="0" /> C’était leur projet depuis plusieurs années, c’est maintenant une réalité. Deux designers coréennes, Johan Olin et Aamu Song exposent au York Hall Center de Londres, leur dernière création : une immense robe rouge. Cette «Redress», qui a nécessité plus de 550 mètres de tissu pour sa conception, pourra être portée par un artiste, accompagné d’un public de 238 personnes qui prendront place dans les poches colossales en forme de plis. Le duo a déjà reçu plusieurs prix pour cette œuvre, qui a aussi été exposée en Allemagne, en Norvège et en Finlande. (Carl Court/AFP) Pas de répit. Pour la pause cigarette, c'est comme chez nous:    c'est à la terrasse du troquet du coin!
<b></div>Pas de répit</b>. Pour bien fumer le narguilé, il faut se mettre en condition...et même dans un décor de guerre. Alors, pendant que cet homme est tranquillement installé sur sa chaise, d'autres derrière lui continuent les combats et se rapprochent de Sirte. Les forces du Conseil National de Transition semblent plus que jamais déterminées à s'emparer de la ville natale de l’ancien leader, et plus de 900 véhicules blindés sont mobilisés pour l'assaut contre ce bastion des pro-Kadhafi. Pas de répit. Pour bien fumer le narguilé, il faut se mettre en condition...et même dans un décor de guerre. Alors, pendant que cet homme est tranquillement installé sur sa chaise, d'autres derrière lui continuent les combats et se rapprochent de Sirte. Les forces du Conseil National de Transition semblent plus que jamais déterminées à s'emparer de la ville natale de l’ancien leader, et plus de 900 véhicules blindés sont mobilisés pour l'assaut contre ce bastion des pro-Kadhafi. " title="Actualité pourquoi es tu si dure et de plus en plus dure?" />Pas de répit. Pour bien fumer le narguilé, il faut se mettre en condition...et même dans un décor de guerre. Alors, pendant que cet homme est tranquillement installé sur sa chaise, d'autres derrière lui continuent les combats et se rapprochent de Sirte. Les forces du Conseil National de Transition semblent plus que jamais déterminées à s'emparer de la ville natale de l’ancien leader, et plus de 900 véhicules blindés sont mobilisés pour l'assaut contre ce bastion des pro-Kadhafi. " border="0" />  Pour bien fumer le narguilé, il faut se mettre en condition...et même dans un décor de guerre. Alors, pendant que cet homme est tranquillement installé sur sa chaise, d'autres derrière lui continuent les combats et se rapprochent de Sirte. Les forces du Conseil National de Transition semblent plus que jamais déterminées à s'emparer de la ville natale de l’ancien leader, et plus de 900 véhicules blindés sont mobilisés pour l'assaut contre ce bastion des pro-Kadhafi. (Goran Marée verte. Pas facile de pédaler dans les algues!    Pas plus que dans la semoule d'ailleurs.....
<b></div>Marée verte</b>. Sous les apparences calmes de cet enfant qui se promène sur la plage de Fouesnant, dans le Sud-Finistère, c'était un peu la guerre des boutons, ce dimanche. Une guerre de tranchées entre manifestants et contre-manifestants. Les premiers s'opposent aux algues vertes et désignent un coupable: l'agriculture intensive. Les seconds, des agriculteurs épaulés par quelques représentants des mondes de la pêche et du tourisme, refusent qu'on les montre du doigt et dénoncent un discours souvent qualifié d'«intégriste». Distants de quelques centaines de mètres, avec des itinéraires savamment conçus pour que personne ne se croise, les deux camps se sont livrés une vigoureuse bataille d'images. Sous contrôle d'importantes forces de police et de gendarmerie. Marée verte. Sous les apparences calmes de cet enfant qui se promène sur la plage de Fouesnant, dans le Sud-Finistère, c'était un peu la guerre des boutons, ce dimanche. Une guerre de tranchées entre manifestants et contre-manifestants. Les premiers s'opposent aux algues vertes et désignent un coupable: l'agriculture intensive. Les seconds, des agriculteurs épaulés par quelques représentants des mondes de la pêche et du tourisme, refusent qu'on les montre du doigt et dénoncent un discours souvent qualifié d'«intégriste». Distants de quelques centaines de mètres, avec des itinéraires savamment conçus pour que personne ne se croise, les deux camps se sont livrés une vigoureuse bataille d'images. Sous contrôle d'importantes forces de police et de gendarmerie. " title="Actualité pourquoi es tu si dure et de plus en plus dure?" />Marée verte. Sous les apparences calmes de cet enfant qui se promène sur la plage de Fouesnant, dans le Sud-Finistère, c'était un peu la guerre des boutons, ce dimanche. Une guerre de tranchées entre manifestants et contre-manifestants. Les premiers s'opposent aux algues vertes et désignent un coupable: l'agriculture intensive. Les seconds, des agriculteurs épaulés par quelques représentants des mondes de la pêche et du tourisme, refusent qu'on les montre du doigt et dénoncent un discours souvent qualifié d'«intégriste». Distants de quelques centaines de mètres, avec des itinéraires savamment conçus pour que personne ne se croise, les deux camps se sont livrés une vigoureuse bataille d'images. Sous contrôle d'importantes forces de police et de gendarmerie. " border="0" /> . Sous les apparences calmes de cet enfant qui se promène sur la plage de Fouesnant, dans le Sud-Finistère, c'était un peu la guerre des boutons, ce dimanche. Une guerre de tranchées entre manifestants et contre-manifestants. Les premiers s'opposent aux algues vertes et désignent un coupable: l'agriculture intensive. Les seconds, des agriculteurs épaulés par quelques représentants des mondes de la pêche et du tourisme, refusent qu'on les montre du doigt et dénoncent un discours souvent qualifié d'«intégriste». Distants de quelques centaines de mètres, avec des itinéraires savamment conçus pour que personne ne se croise, les deux camps se sont livrés une vigoureuse bataille d'images. Sous contrôle d'importantes forces de police et de gendarmerie. (Fred Tanneau/AFP) Vipère au grain. Serveur, ramener mon assiette de "Boulgour" en cuisine.    Je crois que j'ai eu les yeux plus grands que le ventre!
<b></div>Vipère au grain</b>. On ne sait pas ce qui est le plus fascinant dans ce cliché : le camaïeu de beige et d’orangé des grains de sable, si semblable à de la cassonade, ou l’extraordinaire inclusion d’une tête de vipère dans le décor. C’est à peine si on discerne un cercle d’écailles, alignées comme autant d’amandes effilées, qui protège ses orbites protubérantes. Le tout formant un superbe dessert, macrophotographié dans le plus superbe des déserts, celui de Namibie. Il n’y a d’ailleurs que là qu’on trouve cette espèce de petit reptile, qui s’enfouit dans le sable pour chasser les lézards en agitant le bout de sa queue comme un leurre, mais dont la morsure est rarement mortelle pour l’homme. Vipère au grain. On ne sait pas ce qui est le plus fascinant dans ce cliché : le camaïeu de beige et d’orangé des grains de sable, si semblable à de la cassonade, ou l’extraordinaire inclusion d’une tête de vipère dans le décor. C’est à peine si on discerne un cercle d’écailles, alignées comme autant d’amandes effilées, qui protège ses orbites protubérantes. Le tout formant un superbe dessert, macrophotographié dans le plus superbe des déserts, celui de Namibie. Il n’y a d’ailleurs que là qu’on trouve cette espèce de petit reptile, qui s’enfouit dans le sable pour chasser les lézards en agitant le bout de sa queue comme un leurre, mais dont la morsure est rarement mortelle pour l’homme. " title="Actualité pourquoi es tu si dure et de plus en plus dure?" />Vipère au grain. On ne sait pas ce qui est le plus fascinant dans ce cliché : le camaïeu de beige et d’orangé des grains de sable, si semblable à de la cassonade, ou l’extraordinaire inclusion d’une tête de vipère dans le décor. C’est à peine si on discerne un cercle d’écailles, alignées comme autant d’amandes effilées, qui protège ses orbites protubérantes. Le tout formant un superbe dessert, macrophotographié dans le plus superbe des déserts, celui de Namibie. Il n’y a d’ailleurs que là qu’on trouve cette espèce de petit reptile, qui s’enfouit dans le sable pour chasser les lézards en agitant le bout de sa queue comme un leurre, mais dont la morsure est rarement mortelle pour l’homme. " border="0" />  On ne sait pas ce qui est le plus fascinant dans ce cliché : le camaïeu de beige et d’orangé des grains de sable, si semblable à de la cassonade, ou l’extraordinaire inclusion d’une tête de vipère dans le décor. C’est à peine si on discerne un cercle d’écailles, alignées comme autant d’amandes effilées, qui protège ses orbites protubérantes. Le tout formant un superbe dessert, macrophotographié dans le plus superbe des déserts, celui de Namibie. Il n’y a d’ailleurs que là qu’on trouve cette espèce de petit reptile, qui s’enfouit dans le sable pour chasser les lézards en agitant le bout de sa queue comme un leurre, mais dont la morsure est rarement mortelle pour l’homme. (Martin Harvey/Bios)

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