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[Le Choix De La Rédaction] Une histoire de bandes originales …

Publié le 14 novembre 2011 par Nowplaying

[Le Choix De La Rédaction] Une histoire de bandes originales ... Que serait le film Titanic sans « My Heart Will Go On » ? Qu’elle soit composée spécialement pour le film ou qu’il s’agisse d’une compilation de titres, la bande originale d’un film est là pour servir pour l’intrigue allant parfois jusqu’à occulter le film même.  Les membres de la rédaction de Now Playing partage aujourd’hui avec vous quelques unes des bandes originales qui les ont marqué.

Sagittarius

[Le Choix De La Rédaction] Une histoire de bandes originales …

Menace II Society

Menace II Society : Une des meilleures soundtrack Westcoast tout comme celles d’autres films cultes comme Boyz In Da Hood et Murder Was The Case. L’intérêt de cette BO tient du fait que non seulement elle concentre quelques ténors du gangsta-rap des années 90 (Too Short, MC Eiht, Spice 1, DJ Quik) mais aussi des intervenants issus de la Eastcoast, comme les Brand Nubian, Pete Rock & CL Smooth et le Boogie Down Productions.

[Le Choix De La Rédaction] Une histoire de bandes originales …

Kill Bill vol.1

Kill Bill vol.1 : Cette sélection de morceaux devenus anthologiques a tout d’une tuerie signée Quentin Tarantino. Son grand esprit a rencontré celui du moine Wu-Tang Clan, grand amateur de films de Kung-Fu, qui a contribué à la réalisation de parties instrumentales. Ils ne feront pas mieux pour le second volume de Kill Bill.

[Le Choix De La Rédaction] Une histoire de bandes originales …

Tron Legacy

Tron Legacy : Une musique en parfaite adéquation avec l’univers virtuel grandiose et très design de ce film de science-fiction produit par Disney. Les Daft Punk mêlent symphonies de violons et électronique de manière symbiotique. L’analogique et le digital en haute définition, du grand art.

MurphyBrandNew

[Le Choix De La Rédaction] Une histoire de bandes originales …

Honey

Honey : Un jour, les films de danse Hip-Hop gagneront des oscars à la pelle. Mais pas demain. Demain ils continueront à nous donner des scénarios vus et revus. Mais heureusement ils continueront à nous fournir des soundtracks de qualité (pour la plupart). À l’image de la BO du film Honey. Véritable playlist de titres Hip-Hop/R&B conçue spécialement pour faire danser les danseurs du monde entier. Du R&B de Yolanda Adams, Tweet, et Tamia en passant par le rap de Jadakiss, Fabolous et Missy Elliott, chacun trouvera le titre qui le fera danser. Cette BO reste à ce jour la meilleure de sa catégorie.

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Dreamgirls

Dreamgirls : Quand Beyoncé, Jennifer Hudson, Eddie Murphy et Jamie Foxx élèvent leur voix ensemble, ça donne la BO de Dreamgirls. Bill Condon a parfaitement choisi son casting, et tous les acteurs mettent en valeur leur personnage avec leur voix unique. Jennifer Hudson brille sur les musiques de son personnage. La voix de Beyoncé est parfaite pour cette fausse Diana Ross qu’elle incarne. Et on adore retrouver Eddie Murphy en tant que chanteur. C’est une grande leçon de réinterprétation que nous a donné ce casting, puisqu’ils ont redonné une seconde vie à cette légendaire comédie musicale de Broadway.

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The Social Network

The Social Network : C’est évident. L’efficacité du film The Social Network est en partie due à sa BO. Trent Reznor et Atticus Ross ont réussi à parfaitement retranscrire l’ambiance geek et glauque qui ressort du film et on a vraiment l’impression d’être plongé dans l’esprit complexe et tordu de ce Mark Zuckerberg fictif. Ce qui nous fait savourer chaque moment clé de cette histoire. BO fortement conseillée à toutes les personnes qui « bouffent du code » !

Emilie

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500 Days of Summer

500 Days of Summer: 500, c’est le nombre de battements que votre coeur va manquer quand il découvrira la playlist de “500 Days of Summer”. Ces 16 chansons vous imbiberons l’âme de soleil, et si par bonheur vous avez vu le film qui va avec, vous ne verrez plus la vie du même oeil. Le rock garage de Black Lips et The Smiths, la voix envoûtante Regina Spektor, les mélodies entraînantes de Wolmother et Feist… et les tempo tristes de Mumm-Ra. Une B.O. moderne, autant capable de vous coller une dépression que de vous faire pardonner à votre pire ennemi toutes ses inepties.

La subtilité du choix des chansons marche dans les traces de Marc Weeb, le réalisateur : un gouffre qui sépare deux êtres mais qui, réunis ensemble font un tout parfaitement harmonieux. Ne vous arrêtez pas à la simple lecture des noms sur cette bande originale. Simon & Garfunkel sur le même disque que Carla Bruni : on n’a jamais vu un tel génie.

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The Matrix

The Matrix: Trois albums sont sortis pour cette oeuvre unique.Le premier, “Music From The Motion Picture” est le parfait éventail de ce que j’écoute au quotidien. Rage Against the Machine, Marilyn Manson, Deftones, Rammstein… les maîtres du metal et du nu-metal. Face à eux les maîtres de l’électro : la magie de Massive Attack, la rage de Prodigy, le génie mélodique de Rob Zombie…Un mélange détonnant sublimé par les deux autres albums, “The Complete Motion Picture Score” : deux fois 50 minutes réunissant les compositions de Don Davis pour The Matrix. C’est dans ces deux CD, très rares, que l’on retrouve, entre autres, la musique de la séquence du début dans sa version complète, ainsi que celle du combat Néo / Smith dans le métro…La musique a participé à la consécration du film comme “culte”. La B.O. de The Matrix est la base de la bande originale de film : des compositions classiques tranchantes, baignées dans des hits du métal et de l’électro moderne.

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The Island

The Island: Le cinéma se doit de réconcilier le grand publique avec la musique classique. Si les “classiques” ne sont pas toujours abordables, aujourd’hui de nombreux compositeurs mettent à disposition leur talent pour Hollywood. A notre plus grand bonheur.Si vous ne devez retenir qu’un nom de compositeur de musique classique Steve Jablonski est celui qu’il vous faut. Armageddon, Pearl Harbor, Hannibal, Pirates des Caraïbes, Transformes, Massacre à la Tronçonneuse, Avatar… Il a créé les thèmes qui nous ont fait trembler ces dix dernières années.Son travail pour The Island est probablement un de ses plus aboutis, et retranscrit à la perfection les émotions des personnages du film. Crédules et inoffensifs dans une bulle de bonheur, puis en détresse, en fuite, paniqués et désabusés… Le plus étonnant est l’émotion ques ses compositions procurent même lorsqu’on n’a pas vu le film. A écouter de toute urgence.

Ifalas

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Ascenceur Pour L'Echafaud

 Ascenseur pour l’échafaud: Ascenseur pour l’échafaud est l’une des bandes originales les plus importantes du cinéma. Elle a été totalement improvisée en une nuit par Miles Davis et son orchestre. La trompette du maître nous offre un son voluptueux dont on capte les échappées félines. Elle accompagne les pérégrinations de Florence et Julien, dont on voit surgir la véritable nature par la force des événements. Le trompettiste joue avec les silences, il adapte son instrument à chaque scène et nous offre tantôt un be-bop bien senti (« Sur l’autoroute »), tantôt des mélodies très sombres et fragiles à la fois, tout à fait à l’image du film. De la démarche de Jeanne Moreau sur les Champs-Elysées portée par les accords de piano au suspense instauré dans «L’évasion de Julien». Miles accompagne l’histoire du début à la fin, assénant des mélodies très sombres mais à la fois extrêmement fragiles, tout à fait à l’image du film somme toute. Enfin, toute cette grâce est magnifiquement résumée dans le « Générique »

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Ma 6-T va cracker

Ma 6-T va cracker: Une époque, des HLM, une révolte. Il fallait condenser ce cri de désarroi dans un film, puis dans un disque. Bien plus qu’une compilation de titres de rap de très haut niveau, cette B.O représente la violence, puis l’espoir ; la rage d’une jeunesse et son envie de s’en sortir. Mystik s’improvise alors chef de file, suivi de près par les Xmen, Iam, Passi ou encore Ménélik, autant dire la crème de la scène rap de cette année 1997. Autant de voix réunies pour finir de rendre culte le film qui donnait enfin la parole à ces banlieues. Un rap français en grande forme qui ne s’interdit cependant pas un clin d’oeil à ses racines avec un KRS-One en grande forme. Du Hip-hop de la fin des 90′s en bonne et due forme. De la boucle de piano mélancolique subtilement déposée sur « c’est donc ça nos vies », titre introspectif pour toute une frange de la population, à celle de violon qui accompagne le chef-d’œuvre textuel que nous ont offert les X : « Retour aux pyramides », cette B .O est de celles qui marquent l’histoire de la musique autant que celle du cinéma.

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Pulp Fiction

Pulp Fiction: Un film et un réalisateur aussi déjantés ne pouvaient se passer d’une B.O qui soit à la hauteur de cette démence. Comme prévu donc, la bande originale de Pulp Fiction, récit désordonné aux personnages aussi burlesques qu’attachants, est désordonnée mais parfaitement cohérente. Les licks de guitare légendaires de Dick Dale sur « Misirlou » nous font entrer de plein pied dans un braquage, celui du cinéma par Tarantino. S’enchaînent ensuite des titres soul des 60′s/70′s comme « Son Of A Preacher Man » ou « Let’s Stay Together » qui voit Butch feindre de courber l’échine devant Marcellus Wallace sans oublier le dansant « Jungle Boogie » Chaque scène culte du film possède sa musique, il était donc normal que certains dialogues entrés dans l’histoire viennent agrémenter le disque. On retrouve ainsi la fameuse tirade prétendument  « Ézéchiel 25 verset 17 » à la fin de la galette . Faite de flashbacks et de flashforwards, allant de style en style et d’époque en époque, cette bande-originale est éclectique à souhait et vient merveilleusement border ce film qu’il serait impossible de résumer en quelques lignes.

Wadjilicious

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Superfly

Superfly: Tous les grands musiciens Soul des années 70, de James Brown à Roy Ayers ou Isaac Hayes, ils ont tous participé au mouvement Blaxpoitation. Parmi ce florilège de bandes originales, il y a avant tout Superfly, orchestré de main de maître par Curtis Mayfield . Sous fond d’histoire de drogues réalisé par Gordon Parks Jr, Curtis Mayfield livre là l’un des albums les plus importants de la musique noire et peut être des Bandes originales signés estampillées Blaxpoitation. C’est une bande sonore stupéfiante entre basse funky et guitare le tout rehaussé par le falsetto du seul et unique Curtis . Superfly fait partie de ces films dont on ne se souvient plus trop de l’intrigue entre glorification des dealers de drogues et critique du mouvement des droits civiques mais dont on a retenu que la bande sonore qui l’a accompagnée. Le paradoxe réside dans le fait que la bande sonore ne fait pas l’éloge de l’anti héros dealer de drogues mais traite  de thèmes engagés entre discours moralistes et histoire d’amour, tout cela à travers une interprétation, une composition mais aussi une écriture à la hauteur du talent de la légende Mayfield. « Freddie’s Dead » et « Superfly », des bijoux.

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Black Snake Moan

Black Snake Moan: Le blues exprime la tristesse et les coups durs, le blues vient de l’âme.. On ne peut chanter le blues sans avoir connu de désillusion, de douleurs, sans avoir touché le fond, logique donc qu’il compose la bande originale accompagnant cette histoire d’écorchés vifs dont le nom est tiré d’une chanson de Blind Lemon Jefferson. Du blues classique de Son House au Blues plus moderne des Black Keys ou de Scott Bomar, cette bande sonore transmet toute la douleur et la complexité des personnages du film. Du blues, du blues et encore du Blues.Pour l’occasion,Samuel Lee Jackson réinterprète même la chanson qui a donné son titre au film. A la fois sombre et plein d’espoir, les 17 titres sont une parfaite introduction au Blues ( pour les non adeptes) et illustre parfaitement les émotions, les batailles, les rêves brisés. Black Snake Moan est un film plein d’émotions qui utilise la musique comme thérapie. Une belle illustration du ‘Music Saved My Soul’.

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Drive

Drive: La question que l’on peut se poser est ‘qu’est ce Drive sans sa bande originale et qu’est ce cette bande originale sans ce film ?’ Dès le début du film, le ton est donné tant par le jeu d’acteur, la mise en scène mais aussi par le « Nightcall » de Kavinsky. Cette bande originale vous reste dans la tête des jours après avoir vu le film. Une BO qui d’ailleurs participe largement au succès du film mais aussi aide à asseoir cette atmosphère tendue, parfois étouffante avec des sonorités à la fois moderne et rétro. De la lenteur extrême,raccord avec les scènes, à l’émotion de la voix de Riz Ortolani en passant par les compositions de Cliff Martinez, le premier batteur des Red Hot Chili Peppers, la BO très electro de Drive se veut saisissante. Lorsque l’on ressort de la salle  »A real Hero » de College, titre qui cloture le film, nous accompagne des heures, des jours durant. Tout simplement obsédant.

Clem

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Death Proof

Death Proof: Death Proof est certainement un des Tarantino les plus « second degrés » du maître du « second degrés », alors forcément, il y a la soundtrack qui va avec. Et là, on a le droit à du bon gros rock’n’roll de série B. Il est certes toujours possible d’apprécier une musique de film sans avoir vu le film, mais s’agissant de Death Proof, les 16 titres de la bande-originale prennent vraiment tout leur sens après visionnage. Le décalage est donné à chaque track par l’atmosphère déjantée qui émane de cette chasse à la midinette que mène l’indestructible Stuntman Mike. Le « suspens dramaturgique » est donné grâce à la contribution d’Ennio Morricone et à l’emprunt d’un titre de Blow Out de Brian DePalma, l’adrénaline des poursuites mortelles au volant de la Dodge est rythmée par le rock et le blues de T.Rex, The Coasters et Willy DeVille, et on retrouve toute la beauté d’un Tarantino à travers les très rétros « Baby It’s You » et « Hold Tight ! ».C’est aride et angoissant mais tellement drôle à la fois, surtout quand on termine sur le très ironique « Chick Habit » d’April March.

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Little Miss Sunshine

Little Miss Sunshine: L’album réalisé par DeVotchKa pour le film Little Miss Sunshine c’est un peu la bande-son de road movie par excellence, le genre de musique qui donne en effet envie de partir sur la route dans un mini-van Volkswasgen jaune poussin. Cette bande-originale là se fond parfaitement dans le film et en devient emblématique. Un peu comme la musique d’un film d’Emir Kusturica, on sait qu’elle appartient à l’histoire de ces personnages. Mais c’est aussi un album que l’on peut s’approprier en tant que tel et en tirer la satisfaction des mélodies majoritairement folks, notamment avec deux chansons directement puisées dans des albums de Sufjan Stevens. Il y a cette cohérence harmonique propre aux musiques de film qui offre à l’album la continuité que l’on aime avoir lorsqu’on appuie sur ‘Play’ et qu’on s’élance sur la route sans vraiment savoir où on va. On traverse alors différents états d’âmes, de l’enthousiasme avec « No Man’s Land », à la douceur grâce à « No One Gets Left Behind », en passant par la mélancolie de « Do You Think There’s a Heaven », et même le super fun sur « Superfreak ». On est bien, on sourit, on se sent insouciant, on oublie, on n’a pas hâte d’arriver, et c’est particulièrement agréable.

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Le Cinquième élément

Le Cinquième Élément: Qui dit bande-originale d’un film de Luc Besson, dit Eric Serra. Il est incontestable que le compositeur est finalement un ‘grand monsieur du cinéma’ lui aussi, tout comme le sont Ennio Moriconne ou John Williams. Donc, lorsqu’il réalise la musique d’un des films les plus spectaculaires de la fin des années 1990, il nous offre quelque chose de magistral. Pas moins de 26 pistes composées pour habiller l’œuvre cinématographique. Non, en fait, nous sommes très loin de la simple soundtrack qui fait office de fond sonore aux images qui défilent. Nous sommes ici au cœur de la complexité d’une musique faite sur-mesure, une musique qui fait tout autant partie du film que le scénario et le jeu des acteurs, une musique qui est l’emphase de toutes les émotions d’un film grandiose. En écoutant cet album, on replonge dans l’univers futuriste imaginé par Luc Besson : on est assis à l’arrière du taxi de Korben Dallas, on ressent la détresse et la ferveur de Leeloo, on assiste à l’opéra de la Plavalaguna, on se sent aussi décadent que Ruby Rhod, on complote avec Zorg et on marche aux côtés des Mondoshawan. Avec Le Cinquième Élément, Eric Serra nous avait livré une bande-originale au sens le plus noble du terme.

Sowlie

Jungle Fever

Jungle Fever

 Jungle Fever: C’est l’œil de Spike Lee sur les difficultés que rencontrent un homme noir et une femme blanche qui tentent de s’aimer au milieu des préjugés raciaux, dans le New-York de la fin des années 80. Une romance très émouvante avec Wesley Snipes au premier rôle, Annabella Sciorra en jolie secrétaire italo-américaine, une excellente prestation de Samuel L. Jackson en frère junkie et la première apparition de Halle Berry sur grand écran. Mais le film n’aurait pas la même saveur sans la magnifique B.O. composée de chansons de Stevie Wonder, en alternance avec des illustrations sonores du trompettiste Terence Blanchard. On retient notamment les images de Snipes au milieu du bronx de Harlem, marchant au rythme du mythique « Living For The City » tiré de l’album Innervision. Les autres chansons, composées spécialement pour le film, ont fait l’objet d’un album, Jungle Fever, à écouter et réécouter entièrement !

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Dirty Dancing

Dirty Dancing: C’est un peu le film de danse qui a marqué mon enfance, mon adolescence ainsi que celles de toutes les filles de ma génération. Qui n’a pas succombé au sex-appeal de Patrick Swayze, qui voyait alors sa carrière décoller avec son rôle de prof de danse rebelle, ou rêvé d’enfiler les chaussons de l’ingénue Bébé, aka Frédérique, interprétée par Jennifer Grey (« Frédérique c’est aussi un nom de mec ! ») ? Si le film est un classique, sa BO, multi disque de platine, l’est tout autant : impossible d’écouter un des morceaux sans avoir une scène précise du film en tête. Parmi quelques classiques de soul, on y trouve aussi la voix de Patrick Swayze le temps de « She’s like the wind », un véritable carton à l’époque, ainsi que l’incontournable hit de la scène de danse finale « (I’ve Had) The Time Of My Life » de Bill Medley, Jennifer Warnes. Parce qu’on ne laisse pas Bébé dans un coin !

Et vous quelles sont vos bandes originales préférées ?


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