Magazine Cinéma

[Il était une fois...] GTA San Andreas : un monde inconnu !

Par Snoufle @SnoufleBox

[Il était une fois...] GTA San Andreas : un monde inconnu !

C’est au tour de la série GTA, avec le fameux opus San Andreas de passer sous les projecteurs du flashback. Et je peux vous dire que j’en aient vécu des souvenirs avec San Andreas, d’ailleurs la plupart étaient marquant, aussi bien en solo qu’en multi.

Ce qui est bien avec les GTA, et qui s’est vérifié avec GTA 4, et qui j’espère ce revérifiera avec le GTA 5, c’est qu’avant d’inséré la galette dans le lecteur, on ne connait rien du jeu. En effet RockStar est encore un des rares développeurs, si ce n’ai le seul, à encore maintenir une épaisse couche de mystère autour de sa série phare. Du coup quand j’ai lancé pour la première fois le jeu, je ne connaissais absolument rien du gameplay,  j’avais juste en tête quelques visuelles par-ci par-la, ou notre héros Carl Johnson ce livrer à des séances en BMX. La découverte du gameplay était donc totale.

[Il était une fois...] GTA San Andreas : un monde inconnu !

Cette sensation de découverte de l’inconnu est pour moi un aspect qui contribue au succès de la série. On ne ressent pas cette forme de blazitude, que l’on peut éprouver en jouant à des jeux tel que Assassin’s Creed, Call of ou encore Fifa. Je m’en rappelle encore comme si c’était hier, au commencement du jeu, j’étais littéralement téléporter dans l’univers instauré par les gars de Rock Star, un peu comme si je redécouvrais le monde. Ma première action à étais de prendre un BMX pour suivre ma team de gangsta. L’influence gangsta façon guerre des gangs m’a réellement marqué. Toutes ces histoires de gang rival, et ces phases de dialogues aux petits oignons m’on complètement régalé.

Même si ma priorité dans le jeu étais d’avancer dans la campagne solo, je passer une partie non négligeable de mon temps à faire des virées libre. D’ailleurs une fois le jeu fini, je continué à y jouer à forte dose, en m’inventant mes propres histoires de la même façon qu’un gosse le fait avec ses Lego. Il m’ait d’ailleurs souvent arrivé de ressortir le jeu 2-3 ans après sa sortie pour me faire des sessions de shooting de piéton.

[Il était une fois...] GTA San Andreas : un monde inconnu !
[Il était une fois...] GTA San Andreas : un monde inconnu !

San Andreas c’est aussi des heures de vol au commande de « l’Airbus » du jeu (vous savez le gros avion dans l’aéroport de Las Venturas), mais c’est également des randonnées en BMX au Mont Chilidad, pour ensuite s’écraser en contrebas, sauf si bien sur j’avais opter pour le parachute, que l’on pouvait retrouver au sommet de la montagne. Je passais pas mal de temps à me balader dans les campagnes du jeu, et à rouler comme un dingue sur les autoroutes. Pour moi le fait d’avoir créer une aire de jeu qui associe les traditionnelles ville d’un GTA, avec des campagnes, et une idée qui releve du génie, tellement j’ai pris un plaisir fou à découvrir les petites bourgades qui bordent les différentes villes du jeux ( 3 au total).

Le mode multi, pourtant limité pour l’époque, m’a occupé durant de longues heures de jeu. En effet avec mon pote, on s’éclater à voler des voitures, puis à monter à leur bord, pour une fois encore se retrouver au sommet du Mont Chillidad, qui pour le coup est un vraiment un élément marquant du jeu pour moi, tellement j’y ai passé des moments mémorables. Comme en témoigne ma tentative d’atterrissage en jet, qui a d’ailleurs réussi, mais qui c’est avéré plus compliqué pour le gros avion xD. A la manière de ma partie solo, avec mon pote on s’inventé des scénarios. L’angle de caméra au début rédhibitoire, c’est révélé par la suite plutôt amusant surtout lors des scènes de gunfight entre amis, du pur bonheur.

[Il était une fois...] GTA San Andreas : un monde inconnu !

Il y avait aussi toutes les activités annexes qui entourées le jeu, que cela soit grossir à coup de burger king, ou se musclé à l’aide d’haltère, ou encore d’obtenir ces fichus permis de vol qui, si mais souvenirs sont bon donnaient accès à de nouveaux avions que l’ont retrouvaient par la suite dans le fameux aéroport abandonner, il me semble que c’était ainsi que l’on pouvait débloquer le harrier. Il y avait également les séances de tuning, qui permettais de transformer nos plus vieux tacot, ou nos plus belles sportives, en des véritables monstres de la route, avec lesquels on prenait un malin plaisir à semer les flics. Bref ce GTA San Andreas, fait partie de ces jeux qui pour moi nourrissent l’envie de jouer, surtout quand sa suite GTA  5  s’annonce tout aussi bonne.


Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Snoufle 130 partages Voir son profil
Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte