"Intégrer la NBA, c'est ce que j'ai travaillé toute ma vie depuis que j'ai six ans. J'ai appris à voir comment les joueurs vivent et comment ils arrivent à travailler et à jouer devant tous ces fans. Je veux être de cela. Maintenant, je suis ici, donc je vais essayer d'en profiter et faire une longue et brillante carrière en tant que Hornet. "Si les commentaires et critiques autour de Rivers ont pris de l'ampleur ces derniers temps, l'ancien Blue Devil à la peau dure comme il le dit à l'Herald Sun. Ses Blue Devils avaient un bon bilan de 27 victoires et 7 défaites mais se sont fait éjectés dès le premier tour du tournoi NCAA.
"Il faut que vous ayez la peau dure. Jouer à Duke c'est être le plus exposé dans les sports universitaires, surtout si vous jouez dans l'équipe de basket-ball. Jusqu'à présent, dans la mesure où la pression médiatique était agréable tant qu'on gagnait mais face à l'échec c'est beaucoup plus dure. Mais je me endurci et je m'en fous de ce que les gens pensent maintenant. "La pression médiatique est forte autour du duo rookie des Hornets Anthony Davis et Rivers. Ce dernier va également devoir gérer la pression sportive. Utilisé en poste d'arrière, il devra faire son trou alors qu'Eric Gordon est déjà bien installé à New Orleans et est montré comme l'avenir des Hornets. Le coach Monty Williams a d'ailleurs dit qu'il va utiliser le camp d'entraînement et les matchs de préparation pour juger à quel poste Rivers jouera.
Les Hornets ont placé beaucoup d'espoir envers le fils du Doc. A 20 ans, Rivers va vivre une histoire fantastique, dans une équipe qui a soif de revanche, et où il va peut-être apprendre à jouer peut-être au poste de meneur.
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