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La ville des serpents d'eau – Brigitte Aubert

Par Theoma

 

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« Etre bon, c'était comme la flagellation, une punition pour le plaisir éprouvé à être mauvais. »

 

Ennatown, petite bourgarde presque tranquille avec son pasteur qui n'est qu'un homme, son inspecteur alcoolique, ses SDF, son comité de charité interconfessionnel et son tueur de petites filles.

 

Je n'ai rien aimé dans ce policier. La victimisation des personnages est exacerbée, ils m'ont tous passablement agacée. L'écriture, ciselée et incisive, repose malheureusement sur de nombreuses facilités. Les fréquentes comparaisons aux séries télévisées m'ont dérangée. Le suspense est presque inexistant, le coupable est rapidement identifié et la seconde partie m'a donné une sensation de remplissage

 

Ne vous occupez pas de moi, La ville des serpents d'eau est plébiscité par de nombreux lecteurs et libraires. Je suis juste passée à côté. Ça m'arrive souvent avec les polars ces temps-ci.

 

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Seuil, 285 pages, 2012

 


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