Elle a mené un dernier combat depuis quelques semaines contre un cancer foudroyant, mais cette grande dame de Bordeaux, cette fois-ci, n'a pas pu sortir en vainqueur.
Propriétaire de Château Le Gay et de belles propriétés en Argentine, très proche de Michel Rolland qui la conseillait dans toutes ses opérations viti-vinicoles, Madame Péré-Vergé n'avait pour seule ambition que l'excellence.
Chaque année, pendant les primeurs, elle recevait à déjeuner le GJE dans sa propriété de pomerol, toujours à l'écoute des commentaires qu'on pouvait faire sur ces vins, qu'ils soient de France ou d'Argentine.
Elle avait du caractère : c'est le moins qu'on puisse dire, mais , quelque part, elle savait créer un tissu d'affections avec ceux qui savaient l'écouter.
A ses enfants, à sa famille et à toutes les personnes qui travaillaient dans ses opérations, le GJE exprime sa profonde sympathie.

Avec Michel Dovaz lors d'un salon où elle présentait ses vins.