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Soft Machine #2-Soft Machine-1968

Publié le 30 janvier 2014 par Numfar
Soft Machine #2-Soft Machine-1968

Soft Machine #2:

Mike Ratledge: claviers

Kevin Ayers: chant, guitare, basse

Robert Wyatt: chant, batterie

Au printemps 1968, Soft Machine fait sa première tournée américaine, et profite pour enregistrer à New York son premier album avec le producteur Tom Wilson (Dylan, Zappa, Animals).

De retour au pays, le groupe engage le futur Police Andy Summers en remplacement de Daevid Allen, mais celui-ci ne reste que quelques mois et rejoint son pote Zoot Money au sein des Animals.

Deuxième tournée aux Etats-Unis en été 68, tournée épuisante qui signe le départ de Ayers partit s'installer à Ibiza avant de débuter une carrière solo dès 69.

Ayers partit, Soft Machine se sépare alors que leur premier album est enfin publié en décembre 1968: "Soft Machine" produit par Chas Chandler et Tom Wilson.

Hope for happiness (Ratledge-Ayers-B.Hopper)

Joy of a toy (Ratledge-Ayers)

Hope for happiness-reprise (Ratledge-Ayers-B.Hopper)

Why am I so short? (Ratledge-Ayers-H.Hopper)

So boot if at all (Ratledge-Ayers-Wyatt)

A certain kind (Hugh Hopper)

Save yourself (Robert Wyatt)

Priscilla (Ratledge-Ayers-Wyatt)

Lullabye letter (Kevin Ayers)

We did it again (Kevin Ayers)

Plus belle qu'une poubelle (Kevin Ayers)

Why are we sleeping? (Ratledge-Ayers-Wyatt)

Box 25/4 lid (Ratledge-H.Hopper)

Musiciens invités:

Hugh Hopper : basse

Là où Pink Floyd propose une aventure psyché intérieure, barje, menaçante, flippante, mais structurée et toujours musicale, Soft Machine propose un plongeon dans le chaos total, parfois poétique et ambitieux, mais parfois totalement bordélique et improvisé.

D'où ma réserve pour les deux premiers albums, désolé pour les fans qui vont me haïr, mais la pop-jazzy psychédélique de Soft Machine me laisse froid.

On note sur cet album la présence des frères Hopper, tous deux ex-Wilde Flowers.

Début 69, afin d'honorer des contrats, Soft Machine se reforme avec Ratledge, Wyatt et Hugh Hopper à la basse.

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Carrière solo de Kevin Ayers, entre un Syd Barrett sage et un Ringo Starr (mais oui) ayant trop fumé d'herbe qui rend fou.

Une discographie qui vaut surtout pour ses joyaux des seventies, où il s'accompagne de ses amis de Caravan et de Soft Machine, de David Bedford et de Mike Oldfield, et depuis "Confessions Of Dr. Dream" du guitariste de Patto, Ollie Halsall, qui va devenir son collaborateur le plus fidèle, l'entrainant parfois sur les rivages du rock progressif.

J'avoue avoir décroché après "Rainbow Takeaway", désolé...

Joy of a toy (1969)

Shooting at the moon (1970)

Whatevershebringswesing (1971)

Bananamour (1973)

The confessions of Dr. Dream (1974)

Sweet deceiver (1975)

Yes we have no mananas (1976)

Rainbow takeaway (1978)

That's what you get babe (1980)

Diamond Jack & The Queen Of Pain (1983)

Deia...Vu (1984)

As close as you think (1986)

Falling up (1988)

Still life with guitar (1992)

The unfairground (2007)

© Pascal Schlaefli

Bananurba City

30 janvier 2014


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