Quatrième de couverture : Après l’atelier, on se retrouvait au bistrot pour un verre de Beaujolais et une belote avec les copains, pendant que les dames papotaient à Uniprix avant de préparer la gibelotte de lapin et que les plus vieilles nourrissaient leur chat. Le soir, dans la chambre qu’on n’appelait pas encore un studio, on gambergeait : un jour, on l’aurait, la deux-chevaux, et peut-être même le pavillon, avec les nains sur la pelouse. Mais avant de s’endormir, on rêvait surtout des jambes de la voisine du deuxième, des seins de la boulangère, de la démarche de la serveuse… L’amour, c’était là la grande affaire. Dans ces nouvelles inédites, André Vers ressuscite malicieusement un Paris révolu, le petit Paris des années 50-60, celui des Halles, des meublés et du rosbif du dimanche.
Magazine Culture
Ils étaient chouettes, tes poissons rouges, André Vers
Publié le 06 février 2014 par Bouquinovore @bouquinovore
Auteur: André Vers
Titre Original: Ils étaient chouettes, tes poissons rouges
Date de Parution : 21 février 2014
Éditeur : Finitude Editions
Prix : 12,50€ 11,88€
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Ils étaient chouettes, tes poissons rouges
Quatrième de couverture : Après l’atelier, on se retrouvait au bistrot pour un verre de Beaujolais et une belote avec les copains, pendant que les dames papotaient à Uniprix avant de préparer la gibelotte de lapin et que les plus vieilles nourrissaient leur chat. Le soir, dans la chambre qu’on n’appelait pas encore un studio, on gambergeait : un jour, on l’aurait, la deux-chevaux, et peut-être même le pavillon, avec les nains sur la pelouse. Mais avant de s’endormir, on rêvait surtout des jambes de la voisine du deuxième, des seins de la boulangère, de la démarche de la serveuse… L’amour, c’était là la grande affaire. Dans ces nouvelles inédites, André Vers ressuscite malicieusement un Paris révolu, le petit Paris des années 50-60, celui des Halles, des meublés et du rosbif du dimanche.
Quatrième de couverture : Après l’atelier, on se retrouvait au bistrot pour un verre de Beaujolais et une belote avec les copains, pendant que les dames papotaient à Uniprix avant de préparer la gibelotte de lapin et que les plus vieilles nourrissaient leur chat. Le soir, dans la chambre qu’on n’appelait pas encore un studio, on gambergeait : un jour, on l’aurait, la deux-chevaux, et peut-être même le pavillon, avec les nains sur la pelouse. Mais avant de s’endormir, on rêvait surtout des jambes de la voisine du deuxième, des seins de la boulangère, de la démarche de la serveuse… L’amour, c’était là la grande affaire. Dans ces nouvelles inédites, André Vers ressuscite malicieusement un Paris révolu, le petit Paris des années 50-60, celui des Halles, des meublés et du rosbif du dimanche.