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Electric Château au Propulse ( Public) - Orangerie du Botanique - Bruxelles, le 5 février 2014

Publié le 05 février 2014 par Concerts-Review

Propulse - Orangerie - 22h30: Electric Château!

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Fait divers, t'avais des gars attristé par une déflagration dans une rue animée de Dallas, aucune victime humaine, mais Froon, un clebs, Pussy, une chatte et Mistigri, une sourire blanche... pets, indique la presse locale, ont péri sous le décombres, les mecs deviennent the Dallas Explosion.

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Les années ont passé, chantait Hugues, Dallas Geoffrey Hautvas, un Vismet  décide d'entamer une nouvelle aventure: Electric Château!

Il lui faut des laquais, il en engage quatre, au pédigrée impeccable:  Maxime Honhon: basse, chant ( Solkins, Lucy Lucy, Meridians...) - Alexandre de Bueger: batterie ( David Bartholomé) et deux soul-/jazzmen soudoyés, Laurent Doumont: saxophone et Alain Palizeul: trombone, vus il y a peu au Marni.

Cette clique squatte Moulinsart, profitant d'une absence du capitaine ivrogne, elle enregistre une démo ( 'Noblesse Oblige') et se produit sur scène.

Tu t'enquiers: style?

Du rock'n roll aristocratique, chemise à jabot, jaquette vermillon en velours  et escarpins étroits.

Mais encore?

De forts relents classic rock sautillant, un brin de soul  ou de r'n'b, vu la chaude section de cuivres, beaucoup d'énergie et de second degré.

En gros, un amalgame ayant séduit le public, dont une Noa Moon, ma foi, fort souriante!

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Une première salve  nerveuse mixant Blur et funk, ' The Hunting Season'.

Sont fougueux ces poulains, normal...the wolves howl at the moon...ça flanque, la trouille.

Fameuse galopade.

Seconde plage, t'entends un son de clavier, d'où il sort, bordel, t'es pas le seul à être retourné, 'Head over Heels', toujours aussi remuant et accrocheur.

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Our first single, il dit, 'King's shilling' et sa  wah wah bien grasse valant son pesant d'or.

La suivante sera encore plus tumultueuse... I've been 16 days on the highway... chante le sang-bleu, son fier destrier crevait de soif, et sentait arriver les premiers signes d'une petite slaptitude, mais le cavalier, n'en ayant cure, continuait à cravacher comme un malade.

On enchaîne sur un blues cuivré dégageant des parfums Chicago Transit Authority ayant croisé les Kinks qui venaient de larguer Victoria, salle histoire.

La dernière, toujours aussi musclée, 'Where I belong' et son jeu de scène destroy .

Performance haute en couleurs, fort appréciée.

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Electric Château devrait faire fureur pendant la saison des festivals!

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