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Ebola virus mutant ou modifié pour des intérêts purement économiques et financiers ? La réponse ici...

Publié le 18 septembre 2014 par Philippejandrok

ebola.jpgAujourd'hui, on nous a tellement habitué à lire des articles courts sur des sujets essentiels, mais qui ne disent rien, que d'en lire de longs qui nous apprennent à nous éveiller, nous rebute aussitôt. Prenez le temps de lire celui-ci sur Ebola, la volonté cachée des USA et surtout la désinformation, la mésinformation pratiquée systématiquement par les plus grands organes de presse en France et ailleurs.

D’après la revue américaine http://www.NaturalNews.com/, le nouveau plan pour combattre la maladie, qui a tué plus de 2,500 personnes actuellement répertoriées, inclut « un déploiement majeur » au Libéria, et la construction de 17 nouveaux centres de traitement, formant du personnel de santé par milliers et établissant « un centre de contrôle militaire pour la coordination. »

 Question :

-   Pourquoi installer des centres pour combattre une maladie qui n’aurait pas de remèdes officiels, alors qu’il n’y a pas de vaccin selon les autorités américaines, et malgré cela, l’existence d’un vaccin a bel et bien été reconnue puisqu’il a soigné deux médecins américains touchés par le virus Ebola.

 -   Quels sont les intérêts cachés des USA ?

 -   Et d’autres parts, si le vaccin était développé à grande échelle nous n’en connaitrions pas les conséquences à long terme, alors doit on choisir entre la peste et le choléra ou Ebola ?

"L’annonce ne pouvait pas venir assez tôt. Selon la nouvelle recherche alarmante publiée dans l’Eurosurveillance, la publication examinée par des chercheurs du Centre européen de la Prévention de la Maladie et son Contrôle, le monde pourrait faire face de 77,181 à 277,124 cas d’ici à la fin de 2014, mais d’après d’autres sources, un scientifique allemand avance le chiffre de 5 millions, non pas de cas, mais de victimes.

Ainsi, cette générosité de la part du président Obama d’envoyer 3 000 soldats américains juste pour combattre le virus et mettre de l’ordre en Afrique, alors que les Africains tombent comme des mouches face à cette maladie modifiée pour être encore plus dévastatrice, me semble plutôt suspecte, d’autant que nous savons que l’Afrique est le réservoir des ressources des plus grandes entreprises US et du monde.

« La guerre mondiale d’Ebola » est déclarée et M. Obama nous met en garde, sans doute est-ce pour cela qu’il envoie ses troupes. Aujourd’hui, le président Obama met en garde contre Ebola, en disant :

"World War E" is upon us. Today President Obama warned about the Ebola outbreak, saying "It's spiraling out of control. It is getting worse. It's spreading faster and exponentially. And if the outbreak is not stopped now, we could be looking at hundreds of thousands of people infected with profound political and economic and security implications for all of us. "

 -   « Ebola est une forme une spirale hors de contrôle. Il empire. Il s’étend plus rapidement et de façon exponentielle. Et si la propagation n’est pas arrêtée maintenant, nous assisterons à des centaines de milliers de personnes infectées, entrainant de profonds bouleversements politiques et économiques et des problèmes de sécurité pour nous tous… »

-   « de profonds bouleversements politiques et économiques et des problèmes de sécurité pour nous tous… » dit le président Obama ?

 Il est tout à fait remarquable de constater l’intérêt avoué d’Obama et des USA dans cette affaire, qui est purement économique, et pour cause, l’Afrique est le creuset de toutes les ressources dont les USA ont besoin pour créer leurs technologies, et faire ainsi fonctionner leur machine économique ; il apparaît désormais évident que sans résistance intérieure de la part des autochtones, assommés, exterminés par une arme bactériologique - le virus Ebola - les USA sous prétexte d’humanitaire, en envoyant l’armée sur place, ont le champ libre pour piller les ressources locales comme ils l’ont fait en Irak, et partout où ils font la guerre.

Le Docteur Kent Brantly, un missionnaire américain et soigné qui a échappé à une infection Ebola, a aussi témoigné devant le Sénat américain tout en le mettant en garde :

-   « Ebola est un feu tout droit sorti de la fosse de l’Enfer. Nous ne pouvons pas envisager que les profondeurs abyssales de l’océan Atlantique nous protégeront de ce feu. Juguler Ebola est la seule façon d’empêcher des nations entières d’être réduites à néant. »

 Mais si le virus a été modifié pour enrichir et les laboratoires pharmaceutiques qui font peu de cas de la vie humaine et le gouvernement américain pour créer uniquement un flux financier, Ebola ne va pas s’éteindre comme la logique s’attendrait à le voir. Les enfers ont bien été lâchés par des malfaisants, et le mal leur échappe. 

Je tiens à rappeler cet article que j’avais posté il y a quelques jours :

Des experts « qui en savaient trop » à propos d’un laboratoire d’armes biologiques qui fabriquait une nouvelle souche du virus Ebola tué dans le vol MH17? (traduit de l’italien)

Glenn Thomas, consultant principal à Genève pour l’OMS, un expert du sida et, surtout, expert du virus Ebola, était à bord du Boeing 777 de la Malaysia Airlines abattu à la frontière entre l’Ukraine et la Russie.

Glenn Thomas était également le coordonnateur des médias pour l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) et il a été impliqué dans les enquêtes qui s’intéressaient à la question des opérations d’essai du virus Ebola dans le laboratoire d’armes biologiques à l’hôpital de Kenema. Maintenant que ce laboratoire a été fermé par décret du gouvernement du Sierra Leone, plus de détails émergent sur ​​les intérêts cachés derrière sa gestion.

 Bill et Melinda Gates ont des liens avec des laboratoires d’armes biologiques situés à Kenema, l’épicentre de l’épidémie d’Ebola développée à partir de l’hôpital où des essais cliniques étaient menés sur l’homme pour le développement d’un vaccin. Après l’ouverture d’une enquête informelle, il semble que le nom de George Soros, via ses fondations, finance le laboratoire d’armes biologiques.

 Glenn Thomas était au courant de preuves montrant que le laboratoire avait manipulé un diagnostic positif du virus Ebola [au nom de l’Université de Tulane] pour justifier un traitement médical coercitif sur la population, un vaccin expérimental qui, en fait, a propagé le virus Ebola. Glenn Thomas avait refusé de cautionner cette imposture, contrairement à certains qui travaillent à l’Institut de la Santé et qui sont maintenant conscients que Glenn Thomas a été assassiné. 

 Les médias officiels n’ont jamais rapporté une seule nouvelle sur la présence du laboratoire d’armes biologiques à Kenema, et encore moins l’ordre donné à l’Université de Tulane d’arrêter les essais impliquant le virus Ebola.

Le milliardaire George Soros, à travers son réseau de fondations « Open Society », a mis en place depuis de nombreuses années « des investissements importants » dans le « triangle de la mort de l’Ebola », soit au Sierra Leone, au Libéria et en Guinée. Par conséquent, le motif de George Soros pour éliminer le porte-parole de l’OMS, Glenn Thomas, était d’arrêter la propagation des nouvelles par les voies officielles à l’effet que l’épidémie d’Ebola a été orchestrée à une table dans un laboratoire d’armes biologiques. 

Une longue série de coïncidences étranges émergent de l’hôpital de Kenema, centre de recherche où a travaillé Cheikh Humar Khan, le médecin-héros qui est décédé le 29 juillet dernier après avoir été infecté par le virus Ebola. Khan a dirigé le laboratoire où les tests ont été effectués sur la population locale pour trouver de nouveaux cas. Laboratoire qui a un partenariat avec l’Université Tulane à La Nouvelle-Orléans, célèbre pour son expertise sur les maladies tropicales et la recherche sur l’Ebola.

L’hôpital de Kenema collabore également avec l’Institut de recherche médical de l’Us Army, le secteur des forces armées américaines qui est en charge des maladies infectieuses. Selon les déclarations officielles, des expérimentations et tests ont été faits pour le développement de vaccins contre la fièvre jaune et la fièvre de Lassa pour vacciner les soldats. Selon les populations locales, des essais d’armes biologiques, soit de nouveaux virus créés pour être utilisés en temps de guerre, ont été faits, raison pour laquelle elles ont attaqué le centre de Kenema puisque tous ceux qui sont venus passer un dépistage pour le virus Ebola sont ressortis malades. Tant et si bien que le Ministère de la Santé du Sierra Leone, le 23 juillet, a fermé le laboratoire et l’hôpital et a transféré les patients au centre de traitement Kailahun et a ordonné à l’Université de Tulane de cesser les tests sur le virus Ebola. Quel test? Ça n’a pas été précisé. Le Ministère a également ordonné au CDC, le Center for Disease Control aux États-Unis, «d’envoyer officiellement les conclusions et recommandations de l’évaluation du laboratoire de Kenema » à propos de ce qui n’est pas clair. 

Une étude publiée en juillet par le CDC et signée par Humar Khan, Randall Schoepp, Cynthia Rossi et Joseph Augustin Goba Foire, a signalé que «le virus Ebola qui a infecté le Sierra Leone pourrait être le résultat d’un virus ou d’une variante de la génétique Bundibugyo du virus Ebola ». Le 31 juillet, le président de ce petit pays d’Afrique Ernest Bai Koroma a déclaré l’état d’urgence et il a parlé de la recherche du Dr Khan qui demandait si la virulence du virus Ebola avait été obtenue par une mutation génétique. Pourquoi le virus qui cause la fièvre hémorragique en Afrique existe (et tue) depuis des siècles séjourne dans certaines limites? La directrice générale de l’OMS, Margaret Chan, a commencé en août à se demander s’il existe une mutation du virus Ebola ou une adaptation du virus.

 Source:

http://translate.google.com/translate?hl=en&sl=it&...

Déclaration de l’OMS au sujet de M. Glenn Thomas, chargé des médias à l’OMS, qui a perdu la vie sur le vol MH17:
http://www.who.int/mediacentre/news/statements/2014/glenn...Publié par 

Pour conclure, je tiens également à vous montrer la censure de la presse française, comme celle du journal l’Express, qui traite et filtre les informations sur son blog, ou plutôt comment elle modère des commentaires d’information concernant le sujet Ebola sur le thème du rapatriement d’un médecin français atteint par le virus en France :

Bonjour,

 Votre message posté le 18.09.14 01h16 a été modéré car il ne respectait pas la charte de modération de L’Express.fr.

 Pour plus d’informations sur notre politique de modération, vous pouvez lire notre charte des commentaires.

 Bien à vous,

L’équipe de modération

 [email protected]

 Ps : pour rappel, le texte de votre article était:

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C’est le meilleur moyen de ramener le virus en France, d’autant qu’il est volatile à présent, alors qu’il ne s’attrapait avant cette épidémie, que par des sécrétions. D’après des informations publiées aux USA, le virus aurait atteint le Sénégal... Ebola a toujours été circonscrit, mais pas cette fois-ci, un jour les Africains feront payer les responsables de ces horreurs.

Il y aurait encore beaucoup à dire sur cette affaire et surtout sur la fabrication et les conséquences dramatiques au niveau humain, mais le contrôle de l’information va de pair avec ces crimes.

Personnellement je ne lis déjà plus le Point pour ces mêmes raisons, à présent L’Express, qui sera le suivant ? Nous ne pouvons plus faire confiance à cette presse qui nous cache la vérité.

Nous vivons une époque formidiable…


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