Pour Mardi Gras, comme vous avez dû vous en apercevoir, j’ai choisi de faire des gaufres (les crêpes et pancakes, c’était pour la Chandeleur). Les merveilles et les beignets me tentaient bien aussi, mais je manque un peu de temps pour cuisiner et pâtisser en semaine. Pas évident de s’y mettre en rentrant du travail et je travaille certains samedis ! et de plus, nous ne sommes pas spécialement fan de friture. J’ai bien une recette de donuts cuits au four que je fais parfois, mais ce sont plus des petites brioches que de véritable beignets.
A la demande de mon fils qui voulait des gaufres « normales » à déguster avec de la pâte à tartiner et de la chantilly, j’ai fais des gaufres encore plus gourmandes, aux deux chocolats, noir et blanc !… Et « elles sont vraiment géniales, super bonnes !!! »
Gaufres aux chocolats noir et blanc
Préparation : 10 mn – Cuisson: 3 mn – Repos : 30 mn
250 g de farine
1 càc bombée de levure
1 pincée de sel>
10 g de sucre blond de canne
2 œufs
35 cl d’eau*
5 cl d’huile de tournesol
100 g de chocolat noir (à 70% de cacao)
150 g de chocolat blanc
Dans un grand saladier, mélangez la farine, la levure, le sel et le sucre.
Délayez avec la moitié de l’eau jusqu’à ce que le mélange soit lisse. Incorporez l’huile, puis les oeufs légèrement battus à la préparation. Enfin terminez par le reste du liquide. Laissez reposer le pâte environ 30 minutes.
Faire fondre le chocolat noir au bain-marie (dans un récipient placé sur une casserole d’eau bouillante) ou au micro-ondes 1 minute avec 2 cuillères à soupe d’eau (ou comme indiqué sur la tablette). Puis incorporez-le à la pâte à gaufres.
Hachez grossièrement le chocolat blanc et ajoutez-le à la pâte.
Faire chauffer le gaufrier, le huiler légèrement puis faire cuire les gaufres quelques minutes.
Les déguster aussitôt avec un nuage de sucre glace, avec ou sans pâte à tartiner, un peu de chantilly et un bon chocolat chaud pour les plus gourmands !
*Le fait de n’utiliser que de l’eau pour préparer la pâte, va vous donner des gaufres très croustillantes et moelleuses à l’intérieur.