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LE CÉLADON* : une valeur sûre

Par Vava22 @delicesdevaness
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Aller déjeuner au Céladon, c’est avoir la garantie que l’on va se régaler. Un peu comme un dimanche midi quand on va déjeuner chez ses parents (si vous avez la chance d’avoir des géniteurs bons en cuisine, moi c’est le cas héhé). Quand on va au Céladon, on SAIT. 

On sait que l’on s’apprête à retrouver ce décor élégant, un brin suranné, d’un appartement bourgeois parisien avec moquette, moulures, et jolies lampes de salon. 

On sait que les tables vont être nappées, que les serveurs vont nous chouchouter, que le sommelier (Camille Bostyn de son ptit nom) va s’amuser à surprendre notre palais. 

On sait que les mets vont être raffinés, les produits magnifiés, les associations nouvelles. 

C’est déjà beau non ?

Le chef Christophe Moisand (qui maintient avec panache la première étoile depuis 10 ans) et son équipe changent la by Cinemas + plus +"> by Cinemas + plus +"> by Cinemas + plus +"> by Cinemas + plus +">carteLE CÉLADON* : une valeur sûre toutes les semaines et ont eu dernièrement une brillante idée : un menu express dans un restaurant étoilé pour 45 €, en 45 minutes. Parce qu’on peut être un homme (ou une femme !) d’affaire pressé(e) mais gastronome. 

Pas de propositions au rabais, mais un vrai menu étoilé qui commence par de subtiles mises en bouche : agneau aux graines de sésame, tartare de coquilles saint-jacques au citron caviar, cube de betterave gélifiée. Puis les gambas entrent en scène, elles sont rôties au beurre d’Espelette et servies avec une Chantilly d’avocats pendant que des ris d’agneau relevés au vinaigre de Xérès s’acoquinent avec les premières asperges vertes et parfaitement croquantes de Cavaillon. 

Le coeur de cabillaud est confit et cuit à l’huile d’olive, elle-même fumée alors que le râble de lapin s’est sagement laissé parfumer au romarin. C’est élégant et juste, le chef n’en fait pas des tonnes, on profite du produit dans ce qu’il a de plus noble. 

Chef mais aussi chef pâtissier qui fait sortir des cuisines un tube de meringue coco avec sorbet granny smith et miettes de sablé breton pour la texture. 

On traîne un peu à se dire aurevoir et voilà qu’arrivent les mignardises : mini-roulés, macarons, tartelettes au chocolat. 

C’est sûr, ce midi-là j’avais la tête dans les étoiles.

//NB : Le Céladon est situé dans l’hôtel Westminster, dans lequel se cache le fameux Duke’s Bar tout en boiseries et gros fauteuils verts, parfaits pour l’apéro et cité dans mon guide of course. Je vous conseille d’ailleurs d’y accéder par le hall, au 13 rue de la Paix. C’est magique.//

Le Céladon. 15 rue Daunou. 75002. Tél : 01 47 03 40 42. Ouvert tous les jours. Menu express 45 €. Menu retour du marché 53 €. Site.

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J'aime chargement… Catégorie : Coups de coeur parisiens, Dans le 2eme, Français, PAR ARRONDISSEMENT Mots-clés : Camille Bostyn, Céladon, Christophe Moisand, club sandwich Westminster, Duke's bar, Hôtel Westminster, Warwick

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