New York - 1981. L'année la plus violente que la ville ait connue. Le destin d'un immigré qui tente de se faire une place dans le business du pétrole. Son ambition se heurte à la corruption, la violence galopante et à la dépravation de l'époque qui menacent de détruire tout ce que lui et sa famille ont construit.
Rarement un film m'a si peu intéressée. Rarement, je suis restée à ce point " extérieure " à ce qui se passait à l'écran. Rarement, un sujet m'a laissée aussi indifférente.
Allez savoir pourquoi ? Et si je vous dis cela, c'est (croyez-moi) très courageux de ma part (parce que probablement à contre-courant).
Cet industriel qui essaie de monter un empire pétrolier et qui refuse d'entrer dans la violence de ses adversaires, ne m'a absolument pas touchée.
En dépit d'une excellente Jessica Chastain (nommée comme meilleure actrice dans un second rôle au prochain Golden Globes alors que c'est dans Mademoiselle Julie qu'elle aurait dû être nommée), je vais peut-être être une des seules à ne pas vous inciter à aller voir ce film.
Les décors tristes et enneigés, le manque d'émotions, de sentiments et peut-être aussi le fait de ne pas du tout avoir été sensible à Oscar Isaac dans le rôle de l'industriel "pacifiste " ont fait que je me suis presque ennuyée pendant la projection.
Suis-je passée à côté du sujet ? Je n'en sais rien, toujours est-il que j'ai attendu la fin des 2 heures de visionnage avec impatience et qu'en revoyant la bande-annonce que je vous passe comme d'habitude, je suis assez étonnée de ce qu'elle fait espérer et que je n'ai absolument pas ressenti.
Jeu de briques
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