Magazine Culture

Lu, vu, entendu

Par Alittlepieceof @Alittle_piece

curiosity

Lu

Lu, vu, entendu

Camélia décide de démasquer l’auteur des mots manuscrits sur le livre oublié sur un banc. Le tempo s’accélère pour un final forcément imprévu, sous la plume experte de Jim et les pinceaux de Mig.

L’histoire : Camélia vient de découvrir qu’il existe deux exemplaires du livre oublié sur un banc. A l’ombre des grands saules pleureurs, ouvrage sans auteur, mais avec un message personnel sur sa page de garde, a également été trouvé par cette inconnue que Cécilia a en face d’elle dans ce café du centre de Lille. Persuadée que le mari de la jeune femme était celui qui avait volontairement posé le livre et surligné les mots qui constituaient un message secret, elle se trouve désemparée de voir qu’elle n’est pas la seule a avoir fait l’objet de cette démarche. Lorsqu’elle rentre chez elle et cherche un peu de réconfort auprès de son compagnon, elle subit une nouvelle déception de la part de ce post ado dont les pensées semblent essentiellement consacrées aux séries télé et au sexe. Elle décide alors de passer à la vitesse supérieure dans sa recherche du mystérieux semeur de livre, pose à nouveau l’objet sur le banc du parc où elle l’a trouvé le premier jour, se cache et observe. Lorsqu’un gamin s’en empare et quitte la place sans tarder, elle est perplexe. Elle le suit pour finalement se retrouver dans une grande librairie, où a lieu une séance de dédicaces.

Il y a près d’un an, je vous parlais du tome 1 de cette BD. Celui-ci m’avait un peu frustrée et je suis très heureuse de connaître enfin la fin de cette belle histoire. Sans trop en dévoilé, c’est plus une histoire d’amour du livre, qu’une histoire de coeur même s’il y a un petit côté assez romantique à tout cela.

Lu, vu, entendu

Une aventure tendre et nostalgique dans la veine des films de Jacques Tati.

L’histoire : C’est l’histoire de Vincent, 11 ans, qui adore accompagner ses parents maraîchers sur le marché, davantage pour y retrouver ses copains que pour vendre des poireaux. C’est l’histoire de son amour secret pour la fille de la fleuriste, Marie, à qui il rêve d’offrir une pomme de terre en forme de cœur. C’est l’histoire de balades à vélo, celles qu’il aimerait tant faire avec sa chérie, encore faudrait-il qu’il possède un vélo. Sans oublier Andréa, son rival italien, Madame Yola et sa cantine ambulante, les clients pittoresques qui déambulent dans les allées du marché…
Dans cette ambiance simple et chaleureuse des étals, toutes ces histoires de poireaux, de vélos, d’amour et d’autres phénomènes se mélangent pour créer un tableau tendre et nostalgique de l’enfance.

Une BD jeunesse mais qui peut être lu à tout âge et qui nous emmène sur un marché de province avec ses habitués, ses clients tatillons, et surtout les enfants des marchands qui en plus d’aider leurs parents font de ce lieu de vie le leur. Se nouent entre eux amitiés, premiers amours, première rivalités. C’est mignon tout plein et cela plaira aux enfants. J’aime bien aimé la fin, et les petits chats. Encore plus les bonus des deux auteurs.

Merci aux éditions Bamboo pour ces deux BD

Amazon-Killer, une extension qui aime les libraires

Lu, vu, entendu

Un article qui date un peu mais que j’ai trouvé suite à un reportage radio entendu le week-end dernier. Je boycotte Amazon depuis près d’un an maintenant et ce petit outil me semble bien utile.
J’aime beaucoup le dernier paragraphe de l’article.

A découvrir ici : http://www.telerama.fr/livre/amazon-killer-une-extension-qui-aime-les-libraires,121023.php

Vu

Des racines et des ailes spécial Picardie !
Ma belle région, mise à l’honneur dans ce beau reportage disponible encore quelques jours en replay. De quoi avoir envie de la parcourir encore et encore moi qui n’en ai vu qu’une infime partie !

Lu, vu, entendu

Le repas dominicale

Lu, vu, entendu

Aujourd’hui, c’est dimanche. Jean est invité à déjeuner chez ses parents. Comme la soirée de la veille a été bien arrosée, il se demande comment se comporter. Le mieux, c’est de continuer à boire, pense-t-il. Car la conversation va forcément porter sur sa vie amoureuse. On va lui demander s’il est encore avec son ami, et sa mère racontera une énième fois ses erreurs de jeunesse à elle devant les tantes et la grand-mère.

Les relations familiales décortiquées sous le trait acéré de Céline Devaux qui a remporté le Prix de la meilleure animation francophone en 2013. Les repas de famille avec leur conversations qui tournent en rond, la longueur du temps qui s’écoule dans l’ennuie, les lieux communs, les sous entendus…

A voir ou à revoir ici  : http://cinema.arte.tv/fr/article/le-repas-dominical-de-celine-devaux

Entendu

La chanson de la semaine, entendue un matin à la radio et qui m’a donné une pêche d’enfer ! Groovy baby !


Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Alittlepieceof 2158 partages Voir son profil
Voir son blog