J'ai longtemps et longtemps résisté à l'invasion Eurodisney. Un peu comme le village d'Astérix le Gaulois face à l'irréductible Empire Romain. Mais contrairement à Obé, je ne suis pas tombée dans la marmite de potion magique anti-agresseurs impérialistes.
Car il faut bien se l'avouer, il s'agit d'impérialisme culturel, de capitalisme déguisé sous de jolis minois.
Puis une amie m'a dit " tu verras leur bonheur lorsqu'ils rencontreront Mickey ". Le bonheur de mes enfants a donc un prix. Fair enough.
Prix de ce bonheur