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Stretch Your Eyes

Publié le 27 novembre 2016 par Polyphrene
The darkness and the ghostThey dance so sweet and slowDug-out from below thereTo damn the gods
A grip that will holdSo tight and closeAround my throat withThe weight of all our lives
You can give to my heartThousand words or moreYou can give to my heartThousand words or more
The drum you strokeDamn that beat so oldIn the ground it grows thereTo damn the sun (oh what will come to life)
Gates of goldIn your head you holdA kingdom moltenMay the gods be on your side
You can give to my heartThousand words or moreYou can give to my heartThousand words or more
Stretch Your EyesLe passé, les ténèbres du passé, les fantômes du passé, les portes d’or qui ouvrent sur des ruines, et l’angoisse de se trouver irrémédiablement entraînés vers l’avenir – et vers la fin – par le poids de nos vies, hantent les chansons d’Agnes Obel dans son dernier album, « Citizen of Glass ». Mettre des mots, des milliers de mots, sur les souvenirs est une façon de les faire revivre. Penser, créer, écrire, chanter, pour survivre…A Hélène
Etire Tes Yeux
L’ombre et le fantôme dansentTendrement, lentementDéterrées d’en bas pourDamner les dieux
Une étreinte quiSerrera siFort ma gorge avecLe poids de toutes nos vies
Tu peux vouer à mon cœurMille mots et plusTu peux vouer à mon cœurMille mots et plus
Tu tambourinesCe maudit vieux rythmeDans le sol, il croît pourDamner l’soleil(Oh, c’qui vient à la vie)
Portes d’orDans ta tête, tu tiensUn royaume dissous Puissent les dieux être avec toi
Tu peux vouer à mon cœurMille mots et plusTu peux vouer à mon cœurMille mots et plus
(Traduction – Adaptation : Polyphrène)

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