Madone – LauWagon
Témoignage…
Laurence, en juillet 2012 nous nous sommes rencontrées dans le petit Bayonne où vous exposiez, j’étais alors accompagnée d’un jeune homme que je rencontrais pour la première fois lors de mes vacances au Pays Basque (j’habite à La Rochelle). C’est en me faisant visiter le quartier que nous nous sommes arrêtés dans cette galerie où vous exposiez. J’avais été attirée par l’un de vos tableaux « La Madone » et touchée par la façon dont vous représentiez la féminité. A cette époque j’avais 26 ans et j’étais dans la confusion des sentiments après une douloureuse rupture amoureuse. J’avais envie d’être une femme forte et confiante, je m’apprêtais alors avec ce nouveau jeune homme à écrire une nouvelle histoire, mais je n’étais alors pas convaincue de mes choix. Je dois dire que votre exposition m’a donné confiance, toutes ces femmes ainsi peintes m’ont donné quelque chose que je ne saurais décrire. Elles représentaient quelque part toutes celles que j’avais pu être à différents moments de ma petite existence et exprimaient avec tellement de véracité la profondeur de mes sentiments. Lorsque je suis sortie nous avons pris un café et je me suis sentie presque guérie de tout ce chagrin, comme soulagée.
Aujourd’hui, j’ai 32 ans et je suis toujours avec ce jeune homme qui lui en a 35 et qui a quitté son petit Bayonne natal pour me suivre à La Rochelle où nous vivons. Nous sommes les heureux parents depuis l’année dernière d’une petite Sibylle qui comble notre existence.
Nous sommes retournés à Bayonne, dans ma belle famille, pour les fêtes de fin d’année, et nous nous sommes arrêtés par hasard avec notre petite fille devant la galerie, un autre artiste était là. Alors je me suis souvenue de vous et de vos tableaux et j’ai été envahie du même sentiment. Mon conjoint, Johan m’a incitée à vous contacter pour cette demande en vue de m’offrir en cadeau, pour nos sept années d’Amour, une de vos peintures… une création pour cette occasion, souvenir de notre histoire que nous exposerons dans notre maison. Merci.
Émilie F.