Poètes — Edmond Jabès

Poètes — Edmond Jabès

• Edmond Jabès – Chanson pour un jour perdu

  

  Le jour est tombé comme un cri mûr. Je n’aime pas les cris. Le jour est tombé comme un soleil mûr. Je n’aime pas la nuit. Ce jour qui brûle dans ma douleur. Le... Lire la suite

  Le 17 juin 2015 par   Stéphane Chabrières
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• Edmond Jabès – Solitude (1991)

  

  Une parole sans musique Une musique sans paroles Une parole de silence Un silence sans parole. Et puis rien, vraiment plus rien. Lire la suite

  Le 23 décembre 2013 par   Stéphane Chabrières
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• Edmond Jabès – A toi, qui crois que j’existe…(1963)

  

  A toi, qui crois que j’existe, Comment dire ce que je sais Avec des mots dont la signification Est multiple ; Des mots, comme moi, qui changent, Quand on les... Lire la suite

  Le 08 octobre 2013 par   Stéphane Chabrières
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• Edmond Jabès | La soif de la mer

  

  « Poésie d’un jour LA SOIF DE LA MER Il ne faut pas que tu bouges Il ne faut pas que tu respires Il faut que tu restes assise devant moi comme l’arbre avec son... Lire la suite

  Le 11 septembre 2011 par   Angèle Paoli
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• Anthologie permanente : Edmond Jabès

  NDLR : texte choisi en mémoire de Roman Opalka disparu ce 6 Août 2011. La blancheur – couleur d’absence de couleur – est tellement agressive que, pour être... Lire la suite

  Le 10 août 2011 par   Florence Trocmé
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• Sérénissime sérénité (Edmond Jabès)

  

  Ni crêtes. Ni gouffres. A l’absence, nul verrou. Sérénité. Sérénité. Sérénissime sérénité. (Edmond Jabès) Illustration: Marie-Paule Deville Lire la suite

  Le 21 avril 2010 par   Arbrealettres
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• Générosité de l’invisible (Edmond Jabès)

  

  Générosité de l’invisible. Notre gratitude est infinie. Le critère est l’hospitalité. (Edmond Jabès) Illustration: Marie-Paule Deville Lire la suite

  Le 21 avril 2010 par   Arbrealettres
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• Une couleur suffit (Edmond Jabès)

  

  Une couleur suffit à nous aveugler. (Edmond Jabès) Illustration: Fabienne Lire la suite

  Le 19 avril 2010 par   Arbrealettres
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• L’apparition de la mort (Edmond Jabès)

  

  Le corps de la Pensée se raidit à l’apparition de la mort. … une mort qu’elle n’aura pas eu le loisir de penser. (Edmond Lire la suite

  Le 19 avril 2010 par   Arbrealettres
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• Cette écrasante présence du vide! (Edmond Jabès)

  

  Quel silence, partout. Et cette écrasante présence du vide! Dieu est là. Je le sens. Le Rien est soupir d’éternité, aveu négligé d’infini. Lire la suite

  Le 19 avril 2010 par   Arbrealettres
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• Il y aura toujours des oiseaux (Edmond Jabès)

  

  Innumérables noms dans le nid d’un seul. Il y aura toujours des oiseaux pour peupler de cris l’espace vide. (Edmond Jabès) Lire la suite

  Le 19 avril 2010 par   Arbrealettres
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• Les mystérieux arrangements des lettres (Edmond Jabès)

  

  Si nous ne pouvons pas créer la voûte céleste, c’est parce que nous ignorons les mystérieux arrangements des lettres avec lesquelles les cieux et la terre furen... Lire la suite

  Le 18 avril 2010 par   Arbrealettres
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• Nu et à nouveau vierge (Edmond Jabès)

  

  Le temps est, peut-être, venu pour toi de te libérer de ton prénom. Tâche longue et ardue. Il faut que tu atteignes ta mort, sans identité, nu et à nouveau... Lire la suite

  Le 17 avril 2010 par   Arbrealettres
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• Maintenant, qui est-ce? (Edmond Jabès)

  

  - Un soir, tandis que d’un vieux tiroir il retirait, pour moi, des photographies de sa jeunesse, il me rapporta ce dialogue d’un enfant avec sa grand-mère;... Lire la suite

  Le 09 avril 2010 par   Arbrealettres
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• Les anges (Edmond Jabès)

  

  « Les anges – disait-il encore - sont tantôt en haut, tantôt en bas; attirés autant par les gouffres que par les sommets. (Edmond Lire la suite

  Le 09 avril 2010 par   Arbrealettres
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• L’union n’est-elle que communion de deux solitudes effrayées de leur ampleur?...

  

  Il disait: « L’union n’est-elle que communion de deux solitudes effrayées de leur ampleur? Le vide, c’est la réalité du Rien, tandis que le Tout n’est jamais qu... Lire la suite

  Le 09 avril 2010 par   Arbrealettres
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• Là, où nos chemins se croisent, nos ailes se tutoient (Edmond Jabès)

  

  « Que la rivière ait assez d’espace pour irriguer nos terres et l’hirondelle, assez de soleil pour enivrer le toit « , chantait, sur la route, une petite... Lire la suite

  Le 09 avril 2010 par   Arbrealettres
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• Baisse les paupières (Edmond Jabès)

  

  Baisse les paupières. Tu ne vois plus que toi et ce que tu vois, de toi, est un sablonneux désert aux milliards de grains de soif. Marche sur toi, en toi. Lire la suite

  Le 09 avril 2010 par   Arbrealettres
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• Cristallines, sont les larmes (Edmond Jabès)

  

  « II aurait fallu que le ciel soit en moi pour que ma parole, aujourd’hui, ait l’éclat d’un astre « , disait-il. Opacité de la douleur mais, cristallines, sont... Lire la suite

  Le 09 avril 2010 par   Arbrealettres
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• Cette inacceptable absence (Edmond Jabès)

  

  « Si aucun lieu n’est le mien, quel serait mon lieu véritable? Étant vivant, il faut bien que je sois, quelque part, présent? », disait un sage. Lire la suite

  Le 03 avril 2010 par   Arbrealettres
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• L’étranger (Edmond Jabès)

  

  Tu es l’étranger. Et moi? Je suis, pour toi, l’étranger. Et toi? L’étoile, toujours, sera séparée de l’étoile; ce qui les rapproche n’étant que leur volonté de... Lire la suite

  Le 03 avril 2010 par   Arbrealettres
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• Nous ne savons plus où nous sommes (Edmond Jabès)

  

  L’adieu est sans limites L’univers vit d’oubli étapes d’étoiles L’homme et la nature ont les mêmes liens mêmes biens La soif est terrestre Chair douce d’asile... Lire la suite

  Le 03 avril 2010 par   Arbrealettres
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• Les pas d’un danseur enfui (Edmond Jabès)

  

  Le poète relève sur la page blanche, les pas d’un danseur enfui que, dans le rêve, il assimile aux mots prestigieux tombés de sa plume. Lire la suite

  Le 03 avril 2010 par   Arbrealettres
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• Perler l’infini (Edmond Jabès)

  

  Le poète est son poème. Il incarne l’aventure offerte au langage. Il est, dans l’immense coquillage de l’univers, la tentative absurde et toujours renouvelée... Lire la suite

  Le 03 avril 2010 par   Arbrealettres
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• Le pèlerin (Edmond Jabès)

  

  Tu ne marcheras jamais assez pèlerin perceur fou d’horizon La terre apprise est une prison Les barreaux sont les chemins comptés Tu ne rêveras jamais assez La... Lire la suite

  Le 03 avril 2010 par   Arbrealettres
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• La pieuvre (Edmond Jabès)

  

  Flammes muselées L’eau a ses brûlures Fleur de l’amour fou aux lèvres perverses Un homme une mouche dans la cible ouverte Pour la nuit amère l’horrible soleil... Lire la suite

  Le 03 avril 2010 par   Arbrealettres
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• Chouette (Edmond Jabès)

  

  Chouette à la chevelure de comètes Diseuse de bonne aventure La nuit crédule l’interroge Aux morts aux voyants le rivage Demain est un livre d’écume Impatiente... Lire la suite

  Le 02 avril 2010 par   Arbrealettres
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• La baleine (Edmond Jabès)

  

  Baleine nocturne fantasque fontaine dont les jets d’eau sont la respiration On danse autour d’elle ondes qu’incendie la joie de la mer Le masque tombé elle... Lire la suite

  Le 02 avril 2010 par   Arbrealettres
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• La gazelle (Edmond Jabès)

  

  Elle gagne à mourir du credo roux du jour Gracieuse un peu naïve entre deux avènements Proie du faucon cruel don d’amour du nomade Dans ses yeux clos tressés... Lire la suite

  Le 02 avril 2010 par   Arbrealettres
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• La fourmi (Edmond Jabès)

  

  Fermière des ans rivée à la terre L’été c’est le coq Avec les racines audacieux paysage elle épelle l’arbre d’hier et de demain Une perle au front de la... Lire la suite

  Le 02 avril 2010 par   Arbrealettres
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• La tortue (Edmond Jabès)

  

  Toute à sa lenteur comme l’aiguille à l’heure elle détruit l’immobilité de la nuit pierreuse devenue chemin Le but est grenade fendue par l’attente aux... Lire la suite

  Le 02 avril 2010 par   Arbrealettres
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• La jeune fille aux yeux de fête (Edmond Jabès)

  La porte révèle au matin les fatigues du chemin Les sentiers de montagne Mulets de la mémoire Les prunelles dénouent la chevelure geste audacieux des cils dont... Lire la suite

  Le 02 avril 2010 par   Arbrealettres
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• Fière marguerite (Edmond Jabès)

  

  Fière marguerite carrefour des sens capitale effeuillée un os dans ton jardin un mot pour un autre départs retours Au centre le gouffre l’appel veuf du vide... Lire la suite

  Le 02 avril 2010 par   Arbrealettres
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• Le gardien du sol (Edmond Jabès)

  

  J’ai de grands rires en réserve tombereau d’oubli des écrins d’insomnie aux fleurs noires décapitées J’ai ta bouche que mes mots dessinent (les mots que tu me... Lire la suite

  Le 02 avril 2010 par   Arbrealettres
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• Je vous écris d’un pays pesant (Edmond Jabès)

  Aussi belle que la main de l’aimée sur la mer. Aussi seule. J’écris pour vous. La douleur est un coquillage. On y écoute perler le cœur. Lire la suite

  Le 01 avril 2010 par   Arbrealettres
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• Tu n’entendras jamais un murmure de fatigue (Edmond Jabès)

  

  Au dortoir des ressemblances les feuilles ont leurs pensées Les pierres savent le bruit doré que font les abeilles Le jour est intimement lié à leur désespoir... Lire la suite

  Le 01 avril 2010 par   Arbrealettres
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• Secret de la pierre vide (Edmond Jabès)

  

  Secret de la pierre vide que la pioche cherche à percer où le soleil jamais ne pénètre Combien sont-ils à persévérer Penchés sur leur blessure l’unique... Lire la suite

  Le 31 mars 2010 par   Arbrealettres
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• A la poursuite de l’image (Edmond Jabès)

  

  A la poursuite de l’image. Ce que je redoute, c’est de retrouver le sol. Je reprends, alors, mon nom, persuadé d’avoir échappé de justesse à la folie et à la... Lire la suite

  Le 31 mars 2010 par   Arbrealettres
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• Chanson des arbres de la forêt noire (Edmond Jabès)

  

  Dans la forêt noire Où des pendus rient aux arbres, Où des soldats montent la garde, Un incendie éclate. Mais qui alluma les torches? Mais qui mit le feu aux... Lire la suite

  Le 28 mars 2010 par   Arbrealettres
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• Chanson pour le sein crucifié d’une nonne (Edmond Jabès)

  

  On avait défendu aux fleurs l’entrée du couvent. On ne peut rien contre une rose. Une nonne la cultivait au secret. Mais où, mais comment? Quand on lui déchira... Lire la suite

  Le 27 mars 2010 par   Arbrealettres
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• Chanson pour le visage de la petite fille heureuse (Edmond Jabès)

  

  La petite fille a posé sa tête contre la poitrine velue du printemps. Ses cheveux en sont parfumés; ses doigts tressent la tige frêle de nos rêves. Qui fait... Lire la suite

  Le 27 mars 2010 par   Arbrealettres
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• Petite chanson pour la main entêtée du soldat mort (Edmond Jabès)

  

  La main du soldat mort est restée accrochée à l’arbre, l’index sur la gâchette du fusil. Tant d’étoiles, ses victimes. Ohé, soldat, tu nous fais un ciel de fête... Lire la suite

  Le 27 mars 2010 par   Arbrealettres
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• Chanson des trois petites vieilles assises (Edmond Jabès)

  

  Trois petites vieilles veillent en rond dans leur salon. Elles ont froid à l’Âme et quelquefois une larme les brûle jusqu’au menton. Lire la suite

  Le 27 mars 2010 par   Arbrealettres
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• Chanson de la porte (Edmond Jabès)

  

  Nous sommes entrés par erreur. Nous avons frappé à la porte de service. C’était l’été, les grands navires des routes fumaient leurs étoiles. Tout était sale. Le... Lire la suite

  Le 27 mars 2010 par   Arbrealettres
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• Chanson pour une couronne d’aube (Edmond Jabès)

  

  Une épaisseur d’ombre Depuis les yeux, Est-ce encore la nuit? Une épaisseur de sang Pour la main, la jambe. Un arbre surpris. Ton visage m’illumine, Est-ce... Lire la suite

  Le 27 mars 2010 par   Arbrealettres
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• Petite chanson pour le premier avril d’une fenêtre (Edmond Jabès)

  

  Les filles rient aux fenêtres pour humilier les pelouses, arrondir les coins des arbres, délacer la montagne. Les filles chantent aux fenêtres pour tatouer la... Lire la suite

  Le 27 mars 2010 par   Arbrealettres
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• Chanson pour trois poupées de sucre (Edmond Jabès)

  

  Trois poupées de sucre et un confiseur. Trois poupées de luxe et leur tendre cœur. Un château de cartes et trois vieux marcheurs. Trois petites dames et leurs... Lire la suite

  Le 27 mars 2010 par   Arbrealettres
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• Chanson pour une philosophie courante (Edmond Jabès)

  

  Trois oies fraternelles cherchent leur tombe au ciel.  » Je suis lasse « , dit la première.  » Je suis lasse « , dit la seconde. Trois oies grasses et laides... Lire la suite

  Le 27 mars 2010 par   Arbrealettres
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• Petite chanson pour une image familière du paresseux (Edmond Jabès)

  

  Le paresseux tire à lui toutes les vagues de la mer. « Je veux dormir – supplie-t-il - bien au chaud sous mes draps blancs et mes couvertures bleues. «  Et... Lire la suite

  Le 24 mars 2010 par   Arbrealettres
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• Chanson pour le jardin d’une nonne (Edmond Jabès)

  

  Combien de rires, dites, combien de roses dans le corsage d’une nonne. Combien de roses fanées, combien de rires rongés, combien de corps piétines pour un seul... Lire la suite

  Le 24 mars 2010 par   Arbrealettres
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• Chanson pour la favorite du sultan (Edmond Jabès)

  Les sept Reines du ciel, toutes à pleurer, à craindre mordues, brûlées. Les plus cruelles sont les étoiles filles de l’ombre épique et le poignard de leur... Lire la suite

  Le 24 mars 2010 par   Arbrealettres
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• Chanson pour la reine des sept poissons (Edmond Jabès)

  

  Sept poissons dans l’eau claire réclament une Reine. Ce sont les sept poissons des sept mers. Poisson d’or, il me faut une Reine en chapeau. Poisson rouge, il m... Lire la suite

  Le 24 mars 2010 par   Arbrealettres
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• Chanson des trois éléphants rouges (Edmond Jabès)

  

  Trois éléphants rouges rient Au seuil d’une librairie. Trois éléphants et la rue Une perle et la charrue. Entrez, fous et médecins, On gracie les assassins.... Lire la suite

  Le 24 mars 2010 par   Arbrealettres
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• Chanson pour une terre promise (Edmond Jabès)

  

  II dit que la lune est un chapeau de sable et il piétine la lune. Les fous ont des colères inouïes. Il dit que les étoiles sont des crêtes de sel et il sale deu... Lire la suite

  Le 24 mars 2010 par   Arbrealettres
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• Chanson de la fille miraculeuse (Edmond Jabès)

  

  Dans sa cape blanche la lune hèle un fiacre; pauvre cheval mort d’avoir attendu la lune. Avec ses béquilles de feu, l’étoile ivre de se poursuivre, étoile le... Lire la suite

  Le 24 mars 2010 par   Arbrealettres
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• Chanson pour une amoureuse secrète (Edmond Jabès)

  

  II y avait dans les feuilles une femme qui riait si petite qu’on pouvait en faire une ardoise pour les toits. Une femme pour chaque rire si rose pour couvrir... Lire la suite

  Le 23 mars 2010 par   Arbrealettres
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• Chanson sur trois notes de cendres (Edmond Jabès)

  

  Ils ont dit que ma poitrine était un clairon et ils ont soufflé dans ma bouche. Ils ont dit que ma poitrine était un tambour et ils m’ont piétiné à en mourir. N... Lire la suite

  Le 23 mars 2010 par   Arbrealettres
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• Chanson pour un âne mort de mon pays (Edmond Jabès)

  

  II y a un âne qui n’a pas de parents et qui brait tout le temps. Il y a un charretier qui le bat et qui crache sur ses coups. Il y a une route que ruminent les... Lire la suite

  Le 23 mars 2010 par   Arbrealettres
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• Chanson pour le retour des hirondelles (Edmond Jabès)

  

  Si je prenais tes bras et les coupais en quatre Tu aurais autant de bras que si tu étais quatre Rois et quatre Reines Quatre joies et quatre peines Si je prenai... Lire la suite

  Le 23 mars 2010 par   Arbrealettres
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• Chanson des deux éléphants du paradis (Edmond Jabès)

  

  II était, il était une fois Deux éléphants qui ne dormaient pas. Leurs grands yeux constamment allumés Effrayaient le monde et les années. On décida de les... Lire la suite

  Le 23 mars 2010 par   Arbrealettres
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• Chanson pour une reine morte (Edmond Jabès)

  

  La belle Reine des catalogues Fleurit le château de gemmes Où l’adore son Seigneur Vêtu de couteaux et d’eau. Une minute, un sourire, Une éternité de larmes. Lire la suite

  Le 23 mars 2010 par   Arbrealettres
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• Couleur de ma chanson (Edmond Jabès)

  

  Je chante une chanson Que les branches connaissent, Que les pierres ont oubliée. Surprend-elle les hommes ? Le rouge une fois sang, Le vert une fois eau,... Lire la suite

  Le 23 mars 2010 par   Arbrealettres
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• Chanson de la monotonie de la terre (Edmond Jabès)

  

  Les mains de la terre Manquaient de surprises. On leur donna un homme A bâtir et endormir. On leur donna une femme A fleurir et pervertir. On leur donna un... Lire la suite

  Le 23 mars 2010 par   Arbrealettres
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• Chanson de l’année tragique (Edmond Jabès)

  

  Janvier, la neige rouge Interdit l’avenir. Tous les râles, Février, Tous les râles conspirent Mars, la voix des morts Surprend les traînards. Tous les râles,... Lire la suite

  Le 23 mars 2010 par   Arbrealettres
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• Chanson des jours de paix (Edmond Jabès)

  

  Lundi, une aiguille Attend le fil à coudre. Mardi, une bouche Sourit à la rosée. Mercredi, c’est ta main Promise à la clarté. Mais tes seins, jeudi N’ont qu’un... Lire la suite

  Le 23 mars 2010 par   Arbrealettres
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• Chanson de la femme assise (Edmond Jabès)

  

  C’est une femme assise Rongée des soleils. Ses larmes autrefois ont boisé la terre. Son cœur est en feu. C’est une femme assise Sur mes genoux. Distraite, Elle... Lire la suite

  Le 23 mars 2010 par   Arbrealettres
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• Chanson de l’étranger (Edmond Jabès)

  

  Je suis à la recherche d’un homme que je ne connais pas, qui jamais ne fut tant moi-même que depuis que je le cherche. A-t-il mes yeux, mes mains et toutes ces... Lire la suite

  Le 23 mars 2010 par   Arbrealettres
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• Chanson de l’étrangère (Edmond Jabès)

  Elle était debout contre l’arbre. Elle était nue. Elle était le sexe de l’arbre. Elle attendait l’homme et, de leur amour, le monde allait naître. Elle était... Lire la suite

  Le 23 mars 2010 par   Arbrealettres
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• Chanson pour le désespoir de la mer (Edmond Jabès)

  

  Quand un poisson, nourri d’étoiles, quitte son pays natal; quand un crabe, épris de nuages, cherche, hors du sable, son visage; il arrive que la mer se brise... Lire la suite

  Le 23 mars 2010 par   Arbrealettres
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• Chanson pour une amie malheureuse (Edmond Jabès)

  

  Ce matin, les oiseaux se sont réveillés avant l’arbre. Un fantôme qui passait, siffla. L’arbre l’entendit et s’étira. Les oiseaux se posèrent, alors, sur... Lire la suite

  Le 23 mars 2010 par   Arbrealettres
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• Chanson pour un jour perdu (Edmond Jabès)

  

  Le jour est tombé comme un cri mûr. Je n’aime pas les cris. Le jour est tombé comme un soleil mûr. Je n’aime pas la nuit. Ce jour qui brûle dans ma douleur. Le... Lire la suite

  Le 23 mars 2010 par   Arbrealettres
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• Chanson pour un soir de pluie (Edmond Jabès)

  

  Un homme attendait d’aimer. Les cloches au loin carillonnaient. Sans espoir l’homme attendait. Toute porte fermée garde son secret Un homme pleure l’aimée…... Lire la suite

  Le 22 mars 2010 par   Arbrealettres
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• Chanson du serpent a lunes (Edmond Jabès)

  

  Ce qui siffle est bien plus vivant qu’un sifflet. Ce qui rampe est bien plus souple qu’une tige. Cette nuit est comme une main dont les doigts seraient brûlants... Lire la suite

  Le 22 mars 2010 par   Arbrealettres
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• Chanson pour un soir de clair de lune (Edmond Jabès)

  

  Tu déplaces les rues. La ville est un labyrinthe. J’aboutis toujours à ta rue. Tu changes de nom. Les jours sont mes échelons. Ta fenêtre est si haute. Lire la suite

  Le 22 mars 2010 par   Arbrealettres
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• Chanson pour toi (Edmond Jabès)

  

  Je ne cesserai pas De chanter les cloches des rencontres muettes, Les bras des divans parfumés, les grandes chutes d’oiseaux ressemblants, les éternels miroirs... Lire la suite

  Le 21 mars 2010 par   Arbrealettres
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• Chanson pour une amoureuse nue (Edmond Jabès)

  

  C’est une femme bleue appuyée aux cheveux. C’est une femme rouge appuyée à l’épaule. C’est une femme nue. Tu lui donnes ton nom. Ma douleur vaillante... Lire la suite

  Le 21 mars 2010 par   Arbrealettres
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• Petite chanson pour une légende d’amour (Edmond Jabès)

  

  Le beau cavalier s’est arrêté à la fontaine et il a bu à la bouche de la princesse engloutie. Bonnes fées, accourez! La pierre trahie est sans souffle. Lire la suite

  Le 21 mars 2010 par   Arbrealettres
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• Petite chanson pour l’éternelle chanson (Edmond Jabès)

  

  Le vieux château ne tient plus que par la main du troubadour. Sur la viole, elle gratte ma chanson fidèle. Ne crains pas, secrète princesse, le jour. Une rose... Lire la suite

  Le 21 mars 2010 par   Arbrealettres
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• Chanson pour mon encre fidèle (Edmond Jabès)

  Si tu étais verte, tu serais les larmes de l’arbre. Si tu étais bleue, tu serais le socle de l’air. Mais tu es moi-même et ce sont d’austères châteaux que nous... Lire la suite

  Le 21 mars 2010 par   Arbrealettres
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• Chanson du milieu du chemin (Edmond Jabès)

  

  II y avait trois petites filles qui mettaient à rire tout le temps que les garçonnets emploient à siffler. Et sur l’arbre un oiseau et dans l’eau un poisson: Il... Lire la suite

  Le 21 mars 2010 par   Arbrealettres
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• Chanson pour le lever et le coucher de ma chanson (Edmond Jabès)

  

  Pour ma chanson levée trop tôt, une jeune fille tombée du ciel tant de fois confondue avec le matin. Elle ne sait où elle va. L’abeille l’étonné et les fleurs... Lire la suite

  Le 21 mars 2010 par   Arbrealettres
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• Chanson pour mon lecteur (Edmond Jabès)

  

  Tu ne trouveras pas, Lecteur, dans cet album de chansons, ma préférée. Elle se cache ailleurs, dans le vent dorant tes cils. Ce regard qu’elle aère… Il faut bie... Lire la suite

  Le 21 mars 2010 par   Arbrealettres
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• Chanson pour une image déchirée (Edmond Jabès)

  

  Derrière la vitre, la triste vitre de l’oubli, il y avait, il y avait, il y avait quelqu’un qui regardait au loin. Derrière la vitre, la triste vitre du... Lire la suite

  Le 21 mars 2010 par   Arbrealettres
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• Trois orages (Edmond Jabès)

  

  Trois roses et trois scorpions cherchent un nid d’écume. La rose brise le nid. Le scorpion vole l’écume. Trois roses et trois scorpions et peut-être une... Lire la suite

  Le 20 mars 2010 par   Arbrealettres
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• Chanson pour trois morts étonnés (Edmond Jabès)

  

  Nous étions trois morts qui ne savions pas ce que nous étions venus chercher dans cette tombe ouverte. Le plus vieux d’entre nous dit : « C’est beau! Lire la suite

  Le 20 mars 2010 par   Arbrealettres
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• Chanson sans titre (Edmond Jabès)

  

  Et depuis cette histoire les oiseaux ont quatre ailes la mariée une bague la marée un bouquet le rocher une langue pour jaser, pour jaser… Et depuis cette nuit... Lire la suite

  Le 20 mars 2010 par   Arbrealettres
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• Chanson pour le roi de la nuit (Edmond Jabès)

  

  Connais-tu le Roi noir qui a dans le coeur une épée et des fleurs? Connais-tu ses sœurs? La première réveille le vent, cheveux dénoués, les bras levés. La... Lire la suite

  Le 20 mars 2010 par   Arbrealettres
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• A la mémoire de Max Jacob (Edmond Jabès)

  

  … parce qu’il y a peut-être une chanson liée à l’enfance qui, aux heures les plus sanglantes, toute seule défit le malheur et la mort. Lire la suite

  Le 20 mars 2010 par   Arbrealettres
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• Mon amour, une rose dans les cheveux (Edmond Jabès)

  

  Autour des branches, le monde mime sa faim. Tant de cris pour un arbre, dieu parfumé à planter, à fléchir par une ronde magique. On a enrégimenté le suc. Le... Lire la suite

  Le 20 mars 2010 par   Arbrealettres
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• Terre d’outre-nuit (Edmond Jabès)

  

  Terre d’outre-nuit que le soleil arrache à la méditation et aux épines du doute. La fleur affiche une candeur espiègle. La tige suit la trace des grandes... Lire la suite

  Le 20 mars 2010 par   Arbrealettres
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• Danseuses (Edmond Jabès)

  

  Danseuses qui rêvez d’être les sœurs de l’aurore, valsez dans l’oubli du miracle avec la roue des robes ensoleillées. Le chemin est sans indulgence pour qui s’e... Lire la suite

  Le 20 mars 2010 par   Arbrealettres
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• L’absence de lieu (Edmond Jabès)

  

  Terrain vague, page obsédée. Une demeure est une longue insomnie sur le chemin encapuchonné des mines. Mes jours sont jours de racines, sont joug d’amour... Lire la suite

  Le 20 mars 2010 par   Arbrealettres
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• Ouvre l’eau du puits (Edmond Jabès)

  

  Ouvre l’eau du puits. Donne à la soif un moment de répit; à la main la chance de sauver. Nuit des cils. Être vu. L’objet luit pour la main. Le bruit broute le... Lire la suite

  Le 20 mars 2010 par   Arbrealettres
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• Edmond Jabès et les frontières du livre

  "Canevas des jours exempts de vertus génératrices et dont, nulle part, il ne sera fait mention. La mort dispose de ses marges. Tu assembles. Tu couds. Lire la suite

  Le 10 octobre 2009 par   Cetaitdemainorg
  

• Edmond Jabès/La jeune fille qui marche

  

  « Poésie d'un jour (Pour faire défiler les poésies jour après jour, cliquer sur les flèches de navigation) Ph., G.AdC LA JEUNE FILLE QUI MARCHE      La jeune... Lire la suite

  Le 01 octobre 2009 par   Angèle Paoli
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• Anthologie permanente : Edmond Jabès

  Nous sommes invisibles Quant tu es loin il y a plus d’ombre dans la nuit il y a plus de silence Les étoiles complotent dans leurs cellules cherchent à fuir... Lire la suite

  Le 09 avril 2009 par   Florence Trocmé
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• Au Pli du dialogue, 3, sur Edmond Jabès, par Olivier Goujat

  Poezibao publie en trois jours cet article d’Olivier Goujat, consacré à Edmond Jabès. Double rappel à ce sujet : la revue Europe vient de faire paraître dans so... Lire la suite

  Le 20 octobre 2008 par   Florence Trocmé
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• Au Pli du dialogue, 1, sur Edmond Jabès, par Olivier Goujat

  Poezibao publie en trois jours cet article d’Olivier Goujat, consacré à Edmond Jabès. Double rappel à ce sujet : la revue Europe vient de faire paraître dans so... Lire la suite

  Le 18 octobre 2008 par   Florence Trocmé
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• Didier Cahen sur France Culture, lundi soir 18 juin 2007, pour son livre sur...

  Lundi 18 juin, aux alentours de 23 h, dans son émission Du jour au lendemain Alain Veinstein recevra Didier Cahen pour son livre Edmond Jabès, paru dans la... Lire la suite

  Le 25 juin 2007 par   Florence Trocmé
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