Auteurs — Pablo Neruda

Auteurs — Pablo Neruda

  • RĘVE DE CHATS de Pablo Neruda

    RĘVE CHATS Pablo Neruda

    Space Space Qu'un chat qui dort est joli, il dort avec des pattes et un poids, il dort avec ses ongles cruels, et avec son sang sanguinaire, il dort avec... Lire la suite

    Le 11 mars 2015 par   Pestoune
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  • Lamentation lente de Pablo Neruda

    Lamentation lente Pablo Neruda

    Dans la nuit du coeur la lente goutte de ton nom glisse et tombe et brise et déploie en silence son eau. Légère sa blessure exige quelque chose et sa déférence... Lire la suite

    Le 24 octobre 2014 par   Pestoune
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  • Il meurt lentement (Pablo Neruda)

    meurt lentement (Pablo Neruda)

    Il meurt lentement Celui qui ne voyage pas, Celui qui ne lit pas, Celui qui n’écoute pas de musique, Celui qui ne sait pas trouver Grâce à ses yeux. Lire la suite

    Le 12 août 2014 par   Do22
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  • Sonnet 47 de Pablo Neruda

    Sonnet Pablo Neruda

    Voici le sonnet 47 de La Centaine d’amour de Pablo Neruda. Sonnet 47 Je me retourne et veux te voir, dans la ramée. Voici que peu à peu tu es devenue... Lire la suite

    Le 20 juillet 2014 par   Etcetera
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  • "En cette histoire je n'arrive qu'à mourir et si je meurs d'amour, c'est parce...

    cette histoire n'arrive qu'à mourir meurs d'amour, c'est parce t'aime, sang" (Pablo Neruda).

    Il fallait bien faire appel à Pablo Neruda pour nous parler du roman du jour. Parce que ce livre, s'il se passe dans un pays fictif, se déroule dans un pays... Lire la suite

    Le 20 juin 2014 par   Christophe
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  • Sonnet 25 de Pablo Neruda

    Sonnet Pablo Neruda

    ** Sonnet 25 ** Mon amour, avant de t’aimer je n’avais rien : j’hésitai à travers les choses et les rues : rien ne parlait pour moi et rien... Lire la suite

    Le 10 mai 2014 par   Etcetera
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  • Sonnet 21 – Un poème d’amour de Pablo Neruda

    Sonnet poème d’amour Pablo Neruda

    Ce sonnet fait partie de La Centaine d’amour, le célèbre recueil de Pablo Neruda, que l’on trouvera dans la collection Poésie/Gallimard. Lire la suite

    Le 28 novembre 2013 par   Etcetera
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  • Un poème d’amour de Pablo Neruda

    poème d’amour Pablo Neruda

    J’ai trouvé ce poème dans le livre La Centaine d’amour (1960), publié chez Poésie/Gallimard. Ce poème fait, plus exactement, partie du recueil Midi. Lire la suite

    Le 10 novembre 2013 par   Etcetera
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  • Pablo Neruda, poèmes

    Pablo Neruda, poèmes

    Madrid 1936 . Madrid seule et solennelle, Juillet t’avait surprise avec ton allégresse de ruche pauvre: claire était ta rue, clair était ton rêve. Lire la suite

    Le 05 octobre 2012 par   Poesiemuziketc
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  • Pablo Neruda – Les vies (Las vidas, 1952)

    Pablo Neruda vies (Las vidas, 1952)

    Ah ! comme je te sens parfois agacée contre moi, vainqueur au milieu des hommes ! Et cela car tu ne sais pas que ma victoire est celle aussi de milliers de... Lire la suite

    Le 07 septembre 2012 par   Stéphane Chabrières
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  • Pablo Neruda – Fable de la sirène et des ivrognes (Fábula De La Sirena Y Los...

    Pablo Neruda Fable sirène ivrognes (Fábula Sirena Borrachos, 1958)

    Tous ces messieurs étaient là-bas Lorsqu’elle entra complètement nue Ils avaient bu et commencèrent à lui cracher dessus Elle ne comprenait rien, elle sortait... Lire la suite

    Le 02 septembre 2012 par   Stéphane Chabrières
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  • Pablo Neruda – Il meurt lententement celui qui…

    IL MEURT LENTEMENT CELUI QUI…. Il meurt lentement celui qui ne voyage pas, celui qui ne lit pas, celui qui n’écoute pas de musique, celui qui ne sait pas trouve... Lire la suite

    Le 28 juin 2012 par   Faiza
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  • Pablo Neruda : "quand il est mort le poète...."

    Pablo Neruda et l'oiseleur par Supervielle Il meurt lentement celui Il meurt lentement celui qui ne voyage pas, celui qui ne lit pas, celui qui n’écoute pas de... Lire la suite

    Le 05 janvier 2012 par   Marine8888
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  • Pablo Neruda peut (encore) reposer en paix

    Pablo Neruda peut (encore) reposer paix

    Après la chute de Pinochet, le corps de Pablo Neruda a pu être inhumé en bord de mer, à la Isla Negra, la maison qu'il préférait et où il a écrit bon nombre de... Lire la suite

    Le 21 juin 2011 par   Anthony Quindroit
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  • Belle (Pablo Neruda)

    Belle Belle, pareil à l’eau qui sur la pierre fraîche de la source ouvre son grand éclair d’écume, est ton sourire, belle. Belle, aux fines mains, aux pieds... Lire la suite

    Le 09 avril 2011 par   Arbrealettres
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  • L’infinie (Pablo Neruda)

    L’infinie Tu vois ces mains ? Elles ont mesuré la terre, elles ont séparé minéraux et céréales, elles ont fait la paix, la guerre, abattu les distances de toute... Lire la suite

    Le 09 avril 2011 par   Arbrealettres
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  • Le vent dans l’île (Pablo Neruda)

    vent dans l’île (Pablo Neruda)

    Le vent dans l’île Le vent est un cheval: écoute comme il court travers mer et ciel. Pour m’emmener : écoute comme il parcourt le monde pour m’emmener au loin. Lire la suite

    Le 09 avril 2011 par   Arbrealettres
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  • La nuit dans l’île (Pablo Neruda)

    La nuit dans l’île Toute la nuit j’ai dormi avec toi près de la mer, dans l’île. Sauvage et douce tu étais entre le plaisir et le sommeil, entre le feu et l’eau. Lire la suite

    Le 09 avril 2011 par   Arbrealettres
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  • L’inconstant (Pablo Neruda)

    L’inconstant (Pablo Neruda)

    L’inconstant Mes yeux s’en sont allés derrière une brunette qui passait. Était de nacre noire, était raisin violet. De sa traîne de feu elle a fouetté mon... Lire la suite

    Le 09 avril 2011 par   Arbrealettres
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  • Ton rire (Pablo Neruda)

    rire (Pablo Neruda)

    Ton rire Tu peux m’ôter le pain, m’ôter l’air, si tu veux : ne m’ôte pas ton rire. Ne m’ôte pas la rose, le fer que tu égrènes ni l’eau qui brusquement éclate... Lire la suite

    Le 09 avril 2011 par   Arbrealettres
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  • Mains (Pablo Neruda)

    Mains (Pablo Neruda)

    Mains Lorsque tes mains s’envolent, mon amour, vers les miennes, que m’apporte leur vol ? Pourquoi s’être arrêtées brusquement sur ma bouche, se faisant... Lire la suite

    Le 08 avril 2011 par   Arbrealettres
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  • Tes pieds (Pablo Neruda)

    pieds (Pablo Neruda)

    Tes pieds Quand je ne peux regarder ton visage je regarde tes pieds. Tes pieds. Leur os cambré. Tes deux petits pieds durs. Je sais bien qu’ils te portent et qu... Lire la suite

    Le 08 avril 2011 par   Arbrealettres
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  • 8 septembre (Pablo Neruda)

    septembre (Pablo Neruda)

    8 septembre Aujourd’hui, notre temps a été coupe pleine, aujourd’hui, notre temps a été vague immense, aujourd’hui, terre entière. Lire la suite

    Le 08 avril 2011 par   Arbrealettres
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  • La reine (Pablo Neruda)

    reine (Pablo Neruda)

    La reine Je t’ai proclamée reine. Il en est de plus grandes que toi, de plus grandes. Il en est de plus pures que toi, de plus pures. Il en est de plus belles... Lire la suite

    Le 08 avril 2011 par   Arbrealettres
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  • En toi la terre (Pablo Neruda)

    terre (Pablo Neruda)

    En toi la terre Petite rose, rose menue, parfois, minuscule et nue, on dirait que tu tiens dans une seule de mes mains, que je vais t’y emprisonner et à ma... Lire la suite

    Le 08 avril 2011 par   Arbrealettres
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  • AU VENT SUR LA PIERRE (Pablo Neruda)

    VENT PIERRE (Pablo Neruda)

    AU VENT SUR LA PIERRE Sur le rocher nu et dans les cheveux un vent de pierre et de vague. Tout a mué au fil des heures. Le sel a été lumière salée, la mer a... Lire la suite

    Le 07 avril 2011 par   Arbrealettres
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  • LA TORTUE (Pablo Neruda)

    TORTUE (Pablo Neruda)

    LA TORTUE La tortue qui marcha si longtemps et qui vit tant et tant avec ses yeux si vieux, la tortue qui mangea des olives des grands fonds, la tortue qui nage... Lire la suite

    Le 07 avril 2011 par   Arbrealettres
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  • LA CREATION (Pablo Neruda)

    CREATION (Pablo Neruda)

    LA CREATION Cela survint au sein du grand silence lorsque l’herbe naissait, la lumière venait de se déprendre créant le vermillon et les statues, alors dans la... Lire la suite

    Le 07 avril 2011 par   Arbrealettres
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  • JE REVIENDRAI (Pablo Neruda)

    REVIENDRAI (Pablo Neruda)

    JE REVIENDRAI Un jour, voyageur — homme ou femme —, plus tard, quand je ne vivrai plus, cherche ici, cherche-moi parmi la pierre et l’océan, la tempétueuse... Lire la suite

    Le 07 avril 2011 par   Arbrealettres
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  • LA HARPE (Pablo Neruda)

    HARPE (Pablo Neruda)

    LA HARPE La musique allait seule. il n’y avait plume, pelage, lait ou fumée ou noms. Ce n’était jour ni nuit. Seule entre les planètes, de l’éclipse naissant... Lire la suite

    Le 07 avril 2011 par   Arbrealettres
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  • TAUREAU (Pablo Neruda)

    TAUREAU (Pablo Neruda)

    TAUREAU Le plus vieux des taureaux a traversé le jour. Ses pattes grattaient la planète. Il a marché, marché jusqu’à l’endroit où vit la mer. Sur le rivage est... Lire la suite

    Le 07 avril 2011 par   Arbrealettres
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  • Il faut parler avec clarté des pierres (Pablo Neruda)

    faut parler avec clarté pierres (Pablo Neruda)

    Il faut parler avec clarté des pierres claires, des pierres sombres, de la roche ancestrale, du rayon bleu resté prisonnier au coeur du saphir, et du rocher... Lire la suite

    Le 07 avril 2011 par   Arbrealettres
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  • Le corps de la femme que j’aime (Pablo Neruda)

    corps femme j’aime (Pablo Neruda)

    Que se disperse dans la crise, pour une nouvelle genèse, dans le cataclysme, le corps de la femme que j’aime, en obsidienne, en agate, en saphir, en granite... Lire la suite

    Le 07 avril 2011 par   Arbrealettres
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  • Ah! laisse-moi un souterrain, un labyrinthe (Pablo Neruda)

    laisse-moi souterrain, labyrinthe (Pablo Neruda)

    Ah! laisse-moi un souterrain, un labyrinthe où accourir après, lorsque n’ayant plus d’yeux ni de toucher, je voudrai, dans le vide, redevenir ou pierre muette o... Lire la suite

    Le 07 avril 2011 par   Arbrealettres
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  • La topaze (Pablo Neruda)

    topaze (Pablo Neruda)

    Quand tu la touches, la topaze te touche aussi : et le doux feu s’éveille comme s’éveillerait le vin dans le grain de raisin. Même avant sa naissance, le vin... Lire la suite

    Le 06 avril 2011 par   Arbrealettres
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  • Je suis ce nu minéral (Pablo Neruda)

    suis minéral (Pablo Neruda)

    Je suis ce nu minéral : écho du souterrain : je suis joyeux de venir de si loin, du fond de tant de terre : je suis dernier, à peine viscères, corps et mains,... Lire la suite

    Le 06 avril 2011 par   Arbrealettres
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  • Depuis les violettes me font mal (Pablo Neruda)

    Depuis violettes font (Pablo Neruda)

    J’ai franchi le seuil de la grotte aux améthystes : j’ai laissé mon sang dans les épines violettes : j’ai mué, j’ai changé de vin, de critère : et depuis les... Lire la suite

    Le 06 avril 2011 par   Arbrealettres
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  • Le silence dans une pierre (Pablo Neruda)

    silence dans pierre (Pablo Neruda)

    Le silence dans une pierre se concentre, les cercles s’y ferment, le monde tremblant, les guerres, les oiseaux et les maisons, les villes, les trains, les... Lire la suite

    Le 06 avril 2011 par   Arbrealettres
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  • Illustre calcédoine (Pablo Neruda)

    Illustre calcédoine (Pablo Neruda)

    Illustre calcédoine, honneur du ciel, délicate, ovale, claire, entière, ressuscitée, je célèbre la douceur de ton feu, la dureté sincère de l’hommage dans... Lire la suite

    Le 06 avril 2011 par   Arbrealettres
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  • L’arbre (Pablo Neruda)

    L’arbre (Pablo Neruda)

    L’arbre le voici dans la pierre pure, dans l’évidence et la dure beauté bâtie pour cent millions d’années. Agate, cornaline et luminaire ont remplacé les sèves... Lire la suite

    Le 06 avril 2011 par   Arbrealettres
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  • Pierres (Pablo Neruda)

    Pierres (Pablo Neruda)

    Il faut parcourir le rivage du lac Tragosoldo à Antiñana, très tôt, quand la rosée tremble dans les feuilles dures du canelo, et ramasser des pierres... Lire la suite

    Le 06 avril 2011 par   Arbrealettres
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  • Pierre (Pablo Neruda)

    Pierre (Pablo Neruda)

    Pierre qui roule au creux de l’eau, ou de la cordillère, ronde fille du volcan, colombe de la neige, en descendant vers la mer la forme a laissé sa colère égaré... Lire la suite

    Le 06 avril 2011 par   Arbrealettres
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  • Le lichen sur la pierre (Pablo Neruda)

    lichen pierre (Pablo Neruda)

    Le lichen sur la pierre, vrilles de gomme verte, trame le plus ancien des hiéroglyphes, Il étire l’écriture de l’océan sur la roche ronde. Lire la suite

    Le 06 avril 2011 par   Arbrealettres
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  • L’agate marine a-t-elle des lèvres? (Pablo Neruda)

    L’agate marine a-t-elle lèvres? (Pablo Neruda)

    La pierre vit-elle sans bouger? Vit-elle sans grandir? L’agate marine a-t-elle des lèvres? (Pablo Neruda) Lire la suite

    Le 06 avril 2011 par   Arbrealettres
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  • Topaze (Pablo Neruda)

    Topaze (Pablo Neruda)

    Je te convie à la topaze, à la niche de la pierre jaune, ses abeilles, au miel gelé de la topaze, son jour d’or, la famille de la tranquillité réverbérante :... Lire la suite

    Le 06 avril 2011 par   Arbrealettres
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  • Orange de la clarté pétrifiée (Pablo Neruda)

    Orange clarté pétrifiée (Pablo Neruda)

    Ô attitude engloutie dans la matière, muraille opaque protégeant la tour de saphir, écorces des pierres inhérentes au solide, au docile, au chaud secret et à... Lire la suite

    Le 03 avril 2011 par   Arbrealettres
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  • Emeraude (Pablo Neruda)

    Emeraude (Pablo Neruda)

    Lorsque tout n’était qu’altitude, altitude, altitude, l’émeraude froide attendait là-haut, le regard émeraude : c’était un oeil : il regardait et c’était le... Lire la suite

    Le 03 avril 2011 par   Arbrealettres
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  • ODE A LA VALSE SUR LES VAGUES (Pablo Neruda)

    VALSE VAGUES (Pablo Neruda)

    ODE A LA VALSE SUR LES VAGUES [...] Ah, sous les guirlandes, sur le sable de cette côte, sous cette lune, danser avec toi la valse des écumes en te serrant la... Lire la suite

    Le 21 mars 2011 par   Arbrealettres
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  • ODE AU TEMPS A VENIR (Pablo Neruda)

    TEMPS VENIR (Pablo Neruda)

    ODE AU TEMPS A VENIR Temps, tu m’appelles. Avant, tu étais espace pur, vaste prairie. Aujourd’hui tu es fil ou goutte, lumière mince courant comme un lièvre ver... Lire la suite

    Le 21 mars 2011 par   Arbrealettres
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  • ODE DE MES PEINES (Pablo Neruda)

    PEINES (Pablo Neruda)

    ODE DE MES PEINES Peut-être que quelqu’un, que quelques-uns veulent savoir quelque chose de moi. Je m’interdis de parler de mes peines. Lire la suite

    Le 21 mars 2011 par   Arbrealettres
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  • ODE A LA PANTHERE NOIRE (Pablo Neruda)

    PANTHERE NOIRE (Pablo Neruda)

    ODE A LA PANTHERE NOIRE [...] Elle allait comme le feu et, comme la fumée, quand elle ferma ses yeux elle fut invisible et insondable nuit. Lire la suite

    Le 21 mars 2011 par   Arbrealettres
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  • ODE AU MAGNOLIA (Pablo Neruda)

    MAGNOLIA (Pablo Neruda)

    ODE AU MAGNOLIA [...] Une fleur de magnolia pure ronde comme un cercle de neige monta jusqu’à ma fenêtre, me réconciliant avec la beauté. Lire la suite

    Le 21 mars 2011 par   Arbrealettres
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  • ODE A LA LUMIÈRE MARINE (Pablo Neruda)

    LUMIÈRE MARINE (Pablo Neruda)

    ODE A LA LUMIÈRE MARINE [...] Pouvoir de la lumière qui mûrit dans l’espace, vague qui nous traverse sans nous mouiller, hanche de l’univers, rose... Lire la suite

    Le 21 mars 2011 par   Arbrealettres
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  • ODE A LA LUMIÈRE ENCHANTEE (Pablo Neruda)

    LUMIÈRE ENCHANTEE (Pablo Neruda)

    ODE A LA LUMIÈRE ENCHANTEE La lumière sous les arbres, la lumière du haut ciel. La lumière verte entrée aux branches, fulgurante sur la feuille et qui tombe... Lire la suite

    Le 21 mars 2011 par   Arbrealettres
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  • ODE A DES FLEURS JAUNES (Pablo Neruda)

    FLEURS JAUNES (Pablo Neruda)

    ODE A DES FLEURS JAUNES Sur l’azur mouvant ses azurs, la mer, et sur le ciel, des fleurs jaunes. Octobre vient. Et malgré l’importance de la mer développant... Lire la suite

    Le 21 mars 2011 par   Arbrealettres
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  • NOMS (Pablo Neruda)

    NOMS (Pablo Neruda)

    NOMS Ah! Edwige, quel joli nom tu portes, femme au coeur bleu : c’est un nom de reine qui peu à peu est arrivé jusqu’aux cuisines et n’a jamais repris le... Lire la suite

    Le 21 mars 2011 par   Arbrealettres
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  • [SI CHAQUE JOUR...] (Pablo Neruda)

    CHAQUE JOUR...] (Pablo Neruda)

    [SI CHAQUE JOUR...] Si chaque jour tombe dans chaque nuit il existe un puits où la clarté se trouve enclose. Il faut s’asseoir sur la margelle du puits de... Lire la suite

    Le 21 mars 2011 par   Arbrealettres
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  • [LE PORT LE HAVRE...] (Pablo Neruda)

    PORT HAVRE...] (Pablo Neruda)

    [LE PORT LE HAVRE...] Le port le havre de Valparaiso dans ses nippes de terre me l’a conté : il ne sait pas naviguer : il subit l’assaut, l’ouragan, le séisme,... Lire la suite

    Le 20 mars 2011 par   Arbrealettres
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  • [EN PLEIN MILIEU DU MOIS DE JUIN...] (Pablo Neruda)

    PLEIN MILIEU MOIS JUIN...] (Pablo Neruda)

    [EN PLEIN MILIEU DU MOIS DE JUIN...] En plein milieu du mois de Juin une femme a surgi chez moi, une femme ou mieux, une orange. Lire la suite

    Le 20 mars 2011 par   Arbrealettres
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  • CHAQUE JOUR MATHILDE (Pablo Neruda)

    CHAQUE JOUR MATHILDE (Pablo Neruda)

    CHAQUE JOUR MATHILDE Aujourd’hui je te dis : Mathilde, tu es longue comme le corps du Chili, délicate comme une fleur d’anis, en chaque branche tu retiens le... Lire la suite

    Le 20 mars 2011 par   Arbrealettres
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  • [IL SEMBLE QU'UN NAVIRE...] (Pablo Neruda)

    SEMBLE QU'UN NAVIRE...] (Pablo Neruda)

    [IL SEMBLE QU'UN NAVIRE...] Il semble qu’un navire autre que tous les autres devra, l’heure venue, se montrer sur la mer. Il n’est pas en acier. Lire la suite

    Le 20 mars 2011 par   Arbrealettres
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  • [GRAND MERCI, VIOLONS...] (Pablo Neruda)

    [GRAND MERCI, VIOLONS...] Grand merci, violons, pour ce jour à quatre cordes. Pure est la sonorité du ciel, la voix bleue de l’air. Lire la suite

    Le 20 mars 2011 par   Arbrealettres
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  • L’ÉTOILE (Pablo Neruda)

    L’ÉTOILE (Pablo Neruda)

    L’ÉTOILE Bon, je ne suis pas revenu. Non revenir ne me fait plus souffrir, le sable a décidé et comme élément de la vague et du passage, comme syllabe du sel,... Lire la suite

    Le 20 mars 2011 par   Arbrealettres
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  • Je reviens à la mer (Pablo Neruda)

    reviens (Pablo Neruda)

    Je reviens à la mer et le ciel m’environne: le silence, entre la vague et celle qui suit établit une dangereuse interruption: la vie s’éteint, le sang se... Lire la suite

    Le 20 mars 2011 par   Arbrealettres
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  • UN CHIEN EST MORT (Pablo Neruda)

    CHIEN MORT (Pablo Neruda)

    UN CHIEN EST MORT Mon chien est mort. Je l’ai enterré au jardin près d’un vieil engin sous la rouille. Là, ni plus bas, ni plus haut, un jour il me retrouvera. Lire la suite

    Le 20 mars 2011 par   Arbrealettres
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  • LES TRIANGLES (Pablo Neruda)

    TRIANGLES (Pablo Neruda)

    LES TRIANGLES Trois triangles d’oiseaux ont traversé le ciel sur l’énorme océan allongé dans l’hiver comme une bête verte. Tout n’est qu’inertie de mort, le... Lire la suite

    Le 20 mars 2011 par   Arbrealettres
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  • ANIMAL DE LUMIÈRE (Pablo Neruda)

    ANIMAL LUMIÈRE (Pablo Neruda)

    ANIMAL DE LUMIÈRE Je suis, dans cet illimité sans solitude, un animal de lumière traqué par ses erreurs, par son feuillage : vaste est la forêt : ici mes... Lire la suite

    Le 20 mars 2011 par   Arbrealettres
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  • MERCI BEAUCOUP (Pablo Neruda)

    MERCI BEAUCOUP (Pablo Neruda)

    MERCI BEAUCOUP Il faut tant marcher par le monde pour constater certaines choses, certaines lois de soleil bleu, le bruit central de la douleur, l’exactitude... Lire la suite

    Le 19 mars 2011 par   Arbrealettres
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  • IMAGE (Pablo Neruda)

    IMAGE (Pablo Neruda)

    IMAGE D’une femme qui fut rencontre fugitive je conserve le nom bien enfermé : c’est un coffret : j’en élève parfois les syllabes rouillées qui grincent tels... Lire la suite

    Le 19 mars 2011 par   Arbrealettres
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  • L’écorce du bouleau (Pablo Neruda)

    L’écorce bouleau (Pablo Neruda)

    L’écorce du bouleau Comme l’écorce du bouleau tu es argent, tu es parfum, et je dois emprunter tes yeux lorsque je décris le printemps. Lire la suite

    Le 19 mars 2011 par   Arbrealettres
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  • LES HOMMES (Pablo Neruda)

    HOMMES (Pablo Neruda)

    LES HOMMES Moi, l’homme des forêts et des trains en hiver, moi, le conservateur de la dure saison, de la boue dans une rue épuisée, misérable, moi, le poète... Lire la suite

    Le 19 mars 2011 par   Arbrealettres
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  • LES HOMMES (Pablo Neruda)

    HOMMES (Pablo Neruda)

    LES HOMMES Nous sommes arrivés très loin, très loin pour entendre les orbites de pierre, les yeux éteints qui continuent de regarder, les grands visages en plac... Lire la suite

    Le 19 mars 2011 par   Arbrealettres
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  • L’île (Pablo Neruda)

    L’île (Pablo Neruda)

    L’île Lorsque les mastodontes se multiplièrent et debout commencèrent à marcher couvrant finalement l’île de narines de pierre, et lorsqu’ils désignèrent,... Lire la suite

    Le 19 mars 2011 par   Arbrealettres
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  • Quand le papillon lit-il (Pablo Neruda)

    Quand papillon lit-il (Pablo Neruda)

    Quand le papillon lit-il donc ce qui vole écrit sur ses ailes ? Quelles lettres connaît l’abeille pour savoir son itinéraire ? Quels chiffres la fourmi... Lire la suite

    Le 16 janvier 2011 par   Arbrealettres
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  • Qui donne ses noms et ses chiffres (Pablo Neruda)

    donne noms chiffres (Pablo Neruda)

    Pourquoi mon linge délavé s’agite-t-il comme un drapeau ? Suis-je parfois un mauvais drôle ou chaque fois un bon garçon ? Nous enseigne-t-on la bonté ou le... Lire la suite

    Le 16 janvier 2011 par   Arbrealettres
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  • Que signifie continuer d’être (Pablo Neruda)

    signifie continuer d’être (Pablo Neruda)

    Que signifie continuer d’être, dans la venelle de la mort ? Dans le vaste désert du sel, comment fleurir est-il possible ? Dans la mer du rien-ne-se-passe... Lire la suite

    Le 16 janvier 2011 par   Arbrealettres
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  • Pourquoi suis-je né sans mystère ? (Pablo Neruda)

    Pourquoi suis-je sans mystère (Pablo Neruda)

    Pourquoi suis-je né sans mystère ? Pourquoi tout seul ai-je grandi ? Qui m’a demandé d’ébranler les portes de mon propre orgueil ? Qui est sorti vivre à ma plac... Lire la suite

    Le 16 janvier 2011 par   Arbrealettres
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  • Quand je vois de nouveau la mer (Pablo Neruda)

    Quand vois nouveau (Pablo Neruda)

    Quand je vois de nouveau la mer, la mer m’a-t-elle vu ou non ? Pourquoi, m’interrogeant, les vagues me renvoient-elles mes questions ? Pourquoi, battant le... Lire la suite

    Le 16 janvier 2011 par   Arbrealettres
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  • Les conques (Pablo Neruda)

    conques (Pablo Neruda)

    Les conques, marines rondeurs, sont-elles les seins des sirènes ? Sont-elles vagues pétrifiées ? Jeu immobile de l’écume ? Le feu des lucioles sauvages... Lire la suite

    Le 16 janvier 2011 par   Arbrealettres
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  • Où le colibri suspend-il (Pablo Neruda)

    colibri suspend-il (Pablo Neruda)

    Entends-tu des détonations jaunes au milieu de l’automne ? Quelle raison ou déraison fait que la pluie pleure sa joie ? Quels oiseaux dictent l’ordre à suivre... Lire la suite

    Le 16 janvier 2011 par   Arbrealettres
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  • Ne vois-tu (Pablo Neruda)

    vois-tu (Pablo Neruda)

    Ne vois-tu, dans la soie sanglante du coquelicot, une menace ? Ne vois-tu pas que le pommier fleurit pour mourir dans la pomme ? Ne pleures-tu, parmi les... Lire la suite

    Le 16 janvier 2011 par   Arbrealettres
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  • Où trouver une cloche (Pablo Neruda)

    trouver cloche (Pablo Neruda)

    Où trouver une cloche qui tintera au fond de tes rêves? (Pablo Neruda) Lire la suite

    Le 16 janvier 2011 par   Arbrealettres
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  • Pourquoi (Pablo Neruda)

    Pourquoi (Pablo Neruda)

    Pourquoi, pour attendre la neige, la futaie se met-elle nue ? Et comment savoir qui est Dieu parmi les Dieux de Calcutta ? Et pourquoi tous les vers à soie... Lire la suite

    Le 16 janvier 2011 par   Arbrealettres
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  • Est-il vrai (Pablo Neruda)

    Est-il vrai (Pablo Neruda)

    Est-il vrai que l’ambre contient les pleurs versés par les sirènes ? Comment s’appelle cette fleur qui vole d’un oiseau à l’autre ? Ne vaut-il mieux jamais que... Lire la suite

    Le 15 janvier 2011 par   Arbrealettres
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  • Que penseront de mon chapeau (Pablo Neruda)

    penseront chapeau (Pablo Neruda)

    Que penseront de mon chapeau, d’ici cent ans, les Polonais ? Que diront de ma poésie ceux qui n’ont pas touché mon sang ? Comment mesure-t-on l’écume qui... Lire la suite

    Le 15 janvier 2011 par   Arbrealettres
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  • Est-ce le soleil d’hier ? (Pablo Neruda)

    Est-ce soleil d’hier (Pablo Neruda)

    Est-ce le soleil d’hier ? Ou le feu de son feu est-il autre ? Comment rendre grâce aux nuages pour cette abondance éphémère ? D’où viennent-elles, les nuées ave... Lire la suite

    Le 15 janvier 2011 par   Arbrealettres
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  • Quel dard irrite les volcans (Pablo Neruda)

    Quel dard irrite volcans (Pablo Neruda)

    Quel dard irrite les volcans qui crachent feu, froid et fureur ? Et pourquoi Christophe Colomb n’a-t-il pu découvrir l’Espagne ? Combien de questions dans un... Lire la suite

    Le 15 janvier 2011 par   Arbrealettres
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  • La paix de la colombe est-elle paix ? (Pablo Neruda)

    paix colombe est-elle (Pablo Neruda)

    La paix de la colombe est-elle paix ? Le léopard fait-il la guerre ? Pourquoi le maitre enseigne-t-il la géographie de la mort ? Qu’arrive-t-il aux hirondelles... Lire la suite

    Le 15 janvier 2011 par   Arbrealettres
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  • Pourquoi le chapeau de la nuit (Pablo Neruda)

    Pourquoi chapeau nuit (Pablo Neruda)

    Pourquoi le chapeau de la nuit vole-t-il avec tant de trous ? Que raconte la vieille cendre quand elle marche auprès du feu ? D’où vient que les nuages, qui... Lire la suite

    Le 15 janvier 2011 par   Arbrealettres
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  • Qu’abrites-tu là sous ta bosse ? (Pablo Neruda)

    Qu’abrites-tu sous bosse (Pablo Neruda)

    - Qu’abrites-tu là sous ta bosse ? dit le chameau à la tortue. La tortue lui a répondu - Et toi, que dis-tu aux oranges ? Un poirier a-t-il plus de feuilles qu’... Lire la suite

    Le 15 janvier 2011 par   Arbrealettres
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  • Combien le ciel a-t-il d’églises ? (Pablo Neruda)

    Combien ciel a-t-il d’églises (Pablo Neruda)

    Combien le ciel a-t-il d’églises ? Pourquoi le requin ne mord-il les sirènes si effrontées ? La fumée parle-t-elle aux nuages ? Est-il vrai qu’il faut arroser... Lire la suite

    Le 15 janvier 2011 par   Arbrealettres
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  • Dis-moi, la rose est-elle nue (Pablo Neruda)

    Dis-moi, rose est-elle (Pablo Neruda)

    Dis-moi, la rose est-elle nue ou n’a-t-elle que cette robe ? Pourquoi les arbres cachent-ils l’éclat somptueux de leurs racines ? Qui tend une oreille aux... Lire la suite

    Le 15 janvier 2011 par   Arbrealettres
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  • A qui vais-je demander l’heure ? (Pablo Neruda)

    vais-je demander l’heure (Pablo Neruda)

    Si je suis mort sans l’avoir su, à qui vais-je demander l’heure ? Où donc, en France, le printemps puise-t-il tant et tant de feuilles ? Où un aveugle peut-il... Lire la suite

    Le 15 janvier 2011 par   Arbrealettres
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  • Pourquoi les énormes avions (Pablo Neruda)

    Pourquoi énormes avions (Pablo Neruda)

    Pourquoi les énormes avions ne promènent-ils leurs petits ? Quel est l’oiseau aux plumes jaunes qui remplit le nid de citrons ? Pourquoi n’apprend-on aux... Lire la suite

    Le 15 janvier 2011 par   Arbrealettres
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  • Dimanche poétique - Pablo Neruda

    Dimanche poétique Pablo Neruda

    Il meurt lentement celui qui ne voyage pas,celui qui ne lit pas,celui qui n’écoute pas de musique,celui qui ne sait pas trouver grâce à ses yeux. Lire la suite

    Le 19 décembre 2010 par   Emmyne
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  • "je t'aime" pablo neruda

    Sache que je ne t’aime pas et que je t’aime Puisque est double la façon d’être de la vie, Puisque la parole est une aile du silence, Et qu’il est dans le feu un... Lire la suite

    Le 28 juillet 2010 par   Lauravanelcoytte
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  • La poésie - Pablo Neruda

    poésie Pablo Neruda

    Première poésie apprise en CP, uniquement la 1ère strophe...La poésieEt ce fut à cet âge... La poésievint me chercher. Je ne sais pas, je ne sais d'oùelle... Lire la suite

    Le 18 avril 2010 par   Myrtilled
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  • Le potier (Pablo Neruda)

    potier (Pablo Neruda)

    Ton corps entier possède la coupe ou la douceur qui me sont destinées. Quand je lève la main je trouve en chaque endroit une colombe qui me cherchait comme si,... Lire la suite

    Le 23 janvier 2010 par   Arbrealettres
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  • Pablo Neruda : La solitude lumineuse

    L'année 2008 se termine et je constate avec surprise que j'ai quelque peu délaissé les auteurs sud-américains. Pourtant, jusqu'à présent, j'ai toujours trouvé u... Lire la suite

    Le 18 décembre 2008 par   Gangoueus
  • Pablo NERUDA

    Pablo NERUDA

    ...Galope MuertoComo cenizas, como mares poblándose,en la sumergida lentitud, en lo informe,o como se oyen desde el alto de los caminoscruzar las campanadas en... Lire la suite

    Le 16 mars 2008 par   Antwan