Lironjeremy

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• dehors la ville

  La journée se referme comme on passe au dehors, on aborde la rue. Seul et ample, rien ne pèse en soi. L’heure ambiguë nous glisse entre les choses. Lire la suite

  Publié le 21 décembre 2008

• de voir furtivement avant que reprenne

  Face qui vient à soi ou visage comme l’angle raide d’un immeuble (effectivement à l’arrière) imposer l’insistance de la ville, son empiètement complexe, ses... Lire la suite

  Publié le 19 décembre 2008

• Le délicat dégradé d’une façade, les teintes graminées

  Evanouir les choses à la vitre, fixer le plus possible leur évanouissement, le répéter en soi comme on répète un mot de passe pour ne pas le perdre. Lire la suite

  Publié le 17 décembre 2008

• toute l’âme intriguée

  Chaque fois, dans la même sortie de courbe, à l’avant du pont, jouxtant le mur coupe-bruit du périphérique. Traversant un quartier, longeant une nationale ou... Lire la suite

  Publié le 15 décembre 2008

• en revenir avec des histoires

  Qu’on coure par les ruelles, la nuit s’annonce si souple. Les lumières qu’on passe pivotent les ombres avant soi et, on le devine, achèvent leur révolution au... Lire la suite

  Publié le 12 décembre 2008

• Bustamante, le monde derrière la vitre

  L’appareil photographique détermine un monde. Dans la fenêtre retournée de la chambre, les choses se donnent avec une distance et une proximité conjointes. Lire la suite

  Publié le 08 décembre 2008

• blogueur(s)

  Oui, ça c'est imposé finalement cet espace particulier, ce lieu échevelé auquel on revient régulièrement sans certitude toujours sur nos intentions, sans non... Lire la suite

  Publié le 05 décembre 2008

• Claire Tabouret, échos

  Il faut se faire un lieu depuis où recevoir et réfléchir le monde. Apprêter un support, déterminer un espace, tracer un cadre, engager une durée, préparer une... Lire la suite

  Publié le 24 novembre 2008

• L’éloquence visuelles des choses

  On se rêve en voyageur désinvolte, dans le bus observant souplement le monde, notant la succession des tableaux, relevant ce qui n’existe qu’à peine et... Lire la suite

  Publié le 23 novembre 2008

• fragments de ville

  Sentiment que la ville se cache derrière elle-même, par l’évidence confuse qu’elle construit, cet arrangement de volumes, et que l’on ne peut la percevoir,... Lire la suite

  Publié le 20 novembre 2008

• trajets (suite)

  On aura chargé la veille les caisses et les paquets, calés avec du bulle. Finir les classes à midi, remballer sommairement ses cours et s’embarquer pour la... Lire la suite

  Publié le 13 novembre 2008

• Fabricateurs d’espaces

  D’abord vous localisiez l’Institut d’Art Contemporain par le décroché de son parvis sur la rue. Décroché qui n’est plus. Escamoté, comme on dit au théâtre : vou... Lire la suite

  Publié le 10 novembre 2008

• Des équipées spatiales, des cavernes aventureuses et un peu de la géométrie du...

  Les œuvres des frères Chapuisat possèdent un charme puissant qui résiste à se dire, une évidence géométrique mal résignée entre le goût enfantin des cabanes... Lire la suite

  Publié le 04 novembre 2008

• pour quelques lignes tortueuses

  Le texte est d’abord cet ensemble de pistes et de données éparses. Des échos, des anecdotes à dire et l’inconnu qu’ouvre sous nous ce que l’on prend pour objet ... Lire la suite

  Publié le 03 novembre 2008

• Semaine, bimestriel n°13

  Semaines, bimestriel pour l'art contemporain no.13 est annoncé pour novembre. Amusant que ce numéro soit introduit par le travail de Marcel Miracle, artiste ave... Lire la suite

  Publié le 31 octobre 2008

• Led Zep

  Le zeppelin, Un ballon lourd. Le monde est un mouvement dans lequel on est pris. On sait assez en ce moment comme on peut en recevoir l’onde de choc en toute... Lire la suite

  Publié le 28 octobre 2008

• dilatoire & amplique

  26.10 On a roulés à la nuit et avalé ce qui se donnait de paysage dans les phares, une succession de bandes blanches au rythme lancinant. Lire la suite

  Publié le 27 octobre 2008

• D'écrire le réel

  On a tissé le texte d’après ces quelques observations, difractées en quelques sorte, selon le continuum de la phrase et du récit qu’engendre la littérature. Lire la suite

  Publié le 24 octobre 2008

• les terrains vagues de JM Alberola

  Chaque tableau est toujours pour moi un fragment je demande à ce que l’ on ne considère jamais un tableau seul, ce qui compte, c’ est l’ ensemble de l’... Lire la suite

  Publié le 23 octobre 2008

• Ici la langue se cherche

  Et donc il s’agit toujours de saisir ce qui va, et dedans quoi on est pris de mouvant et confus, d’où sortent aussi parfois quelques éclats vifs, cinglants. Lire la suite

  Publié le 22 octobre 2008